Politique

Paris s’apprête à frapper le régime mafieux algérien au portefeuille !

L’impunité des pontes du régime algérien touche-t-elle à sa fin ? C’est ce que laisse entrevoir une information explosive révélée par le magazine L’Express, selon laquelle la France envisage sérieusement de geler les avoirs d’une vingtaine de hauts responsables algériens. Une décision qui, si elle se concrétise, pourrait bien faire vaciller les fondations corrompues d’un système verrouillé depuis des décennies par une nomenklatura prédatrice, étouffant son peuple tout en dilapidant les richesses nationales à l’étranger.

Selon une source gouvernementale française citée par le magazine, l’exécutif français prépare une mesure de rétorsion sans précédent : le gel des comptes bancaires, des biens immobiliers et des participations financières appartenant à certains des hommes les plus influents du régime algérien. Ce coup de semonce, encore en gestation, serait activé en cas d’aggravation de la crise diplomatique entre Paris et Alger.

Les barons du régime algérien dans le viseur de Paris:

Cette initiative, pilotée conjointement par les ministères français de l’Économie et de l’Intérieur, vise une vingtaine de figures de l’appareil d’État algérien, connues pour avoir transformé la France en paradis fiscal personnel. Il s’agirait de hauts gradés militaires, d’apparatchiks politiques et de cadres sécuritaires, tous liés à la clique mafieuse au pouvoir à Alger, et qui dissimulent derrière des villas cossues à Neuilly, des immeubles à Lyon ou des comptes à Monaco, les fruits d’un système de prédation institutionnalisée.

Toujours selon la même source, pas moins de 801 membres de la nomenklatura algérienne détiennent des intérêts financiers en France. Et ce chiffre n’inclut même pas les militaires et leurs familles, dont les enfants poursuivent des études dans des universités françaises payées en devises détournées du Trésor public algérien.

Un bras de fer aux airs de désenvoûtement:

Longtemps toléré, ce parasitisme à visage officiel semble désormais dans le collimateur de Paris. Après avoir restreint l’octroi des passeports diplomatiques algériens, la France envisage désormais de passer à la vitesse supérieure : confisquer les avoirs des responsables algériens les plus haut placés sur le modèle des sanctions imposées aux oligarques russes.

L’objectif ? Mettre le régime algérien au pied du mur. Non seulement en frappant là où cela fait le plus mal — leurs fortunes accumulées en Europe — mais aussi en exposant publiquement ces pratiques devant l’opinion française et internationale. Une fois rendue publique, la « liste noire » des responsables visés deviendrait un cauchemar diplomatique pour Alger, dont les chefs passent leur temps à vociférer contre l’« ingérence étrangère » tout en planquant leur argent à Paris, Cannes ou Genève.

Une mesure légale, souveraine, et potentiellement dévastatrice:

Les ministères français concernés n’auraient nul besoin d’une validation européenne : la législation nationale leur confère le pouvoir de bloquer les avoirs de toute personne jugée dangereuse pour les intérêts stratégiques de la France ou impliquée dans des actes d’ingérence. Et dans ce domaine, le régime algérien est un récidiviste notoire : manipulations de la diaspora, propagande anti-française, instrumentalisation du conflit au Sahel, ou encore menaces voilées contre des journalistes.

Bruno Retailleau, ministre de l’Intérieur, a d’ailleurs déjà laissé entendre que ces sanctions dites « patrimoniales » étaient sur la table depuis janvier dernier, destinées à ceux qui « nuisent aux relations bilatérales » et utilisent la France comme coffre-fort tout en l’attaquant sur la scène internationale.

La fin d’un double jeu :

Pendant que le peuple algérien ploie sous l’inflation, l’austérité et la répression, une caste de privilégiés entasse des fortunes à l’étranger en toute impunité. Ces fortunes pourraient bientôt être saisies. Et avec elles, c’est tout un système fondé sur la prédation, l’hypocrisie et le mensonge qui pourrait vaciller.

Car si la France décide enfin de faire tomber les masques, le régime algérien n’aura plus de refuge : ni dans ses discours de façade, ni dans ses comptes bancaires français.

Abderrazzak Boussaid/Le7tv

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