Le Suicide Iranien : Le régime des Mollahs lance des missiles sur les bases Américaines au Qatar et en Irak
Dans un acte de provocation extrême, l’Iran a lancé ce lundi des missiles balistiques contre des bases américaines au Qatar et en Irak, embrasant un peu plus une région déjà au bord de l’explosion.
Ce geste insensé et suicidaire, qui a fait résonner les sirènes d’alerte de Doha, marque un point de non-retour dans l’escalade voulue par les Ayatollahs, retranchés dans leurs bunkers alors que leur peuple endure la misère, la répression et désormais… l’odeur de la guerre totale.
Le délire d’un régime aux abois:
La République Islamique, frappée de plein fouet par des frappes américano-israéliennes sur ses installations nucléaires stratégiques de Fordo, Natanz et Ispahan, a choisi la réponse la plus folle : attaquer directement les bases américaines d’Al-Udeid au Qatar et d’Aïn al-Asad en Irak, s’exposant ainsi à des représailles d’une ampleur inédite.
Les explosions entendues dans le ciel de Doha, sont le symptôme d’un régime qui préfère sacrifier la paix régionale plutôt que de renoncer à son agenda nucléaire secret et à son rêve théocratique hégémonique. Tandis que le Qatar fermait son espace aérien en urgence, les missiles iraniens fendaient le ciel, preuve d’un mépris total pour le droit international, la souveraineté des États voisins et, surtout, pour la vie humaine.
Khamenei : le bunker pour lui, le chaos pour les autres
Le Guide suprême, Ali Khamenei, depuis les profondeurs de ses fortifications souterraines, orchestre cette folie destructrice avec une froideur glaçante. Loin du champ de bataille, il utilise son propre peuple comme bouclier humain et sacrifie la jeunesse iranienne pour un fantasme idéologique déconnecté de toute réalité.
La promesse d’une « action ferme », proférée par le chef d’état-major iranien, sonne comme un chant du cygne désespéré. Car les frappes israéliennes et américaines ont déjà porté un coup sévère au programme nucléaire iranien. Le président Donald Trump n’a pas hésité à parler d’une « réussite militaire spectaculaire », évoquant même une possible transition de régime.
Une nation otage de sa propre dictature:
Le peuple iranien, qui aspire depuis longtemps à la liberté, à la prospérité et à la paix, se retrouve à nouveau pris en otage par un régime obsédé par sa survie idéologique. Au lieu de construire des écoles et des hôpitaux, les Mollahs bâtissent des centrifugeuses. Au lieu d’ouvrir le pays au monde, ils le plongent dans l’isolement, la peur et le fracas des bombes.
Aujourd’hui, l’Iran ne se bat plus pour son avenir, mais pour la survie d’un régime en fin de cycle. Ce dernier combat, mené avec l’arrogance des tyrannies en déclin, risque d’emporter avec lui des milliers de vies innocentes et de plonger le Moyen-Orient dans un nouveau cauchemar.
Face à cette folie suicidaire, la communauté internationale ne peut plus se contenter de condamnations tièdes. Il est temps d’agir, de soutenir ceux qui, en Iran, luttent pour la démocratie, la justice et la paix. Car tant que le régime des Mollahs tiendra les rênes du pouvoir, l’Iran restera une poudrière, prête à embraser le monde au nom d’un projet aussi archaïque que dangereux.
