Tebboune succède à lui-même : Quand le désespoir se répète !
Un vieux Tebboune peut en cacher un autre, ou plutôt, le même !… Encore une fois, Abdelmadjid Tebboune va s’imposer, ou du moins va être imposer aux Algériens, à la tête d’un pays à bout de souffle, accablé par une armée qui tire les ficelles dans l’ombre. Malgré ses frasques de vieillesse et de sénilité, ses incohérences flagrantes et son incapacité à relancer une économie qui s’effondre comme un château de cartes, Tebboune s’accroche au pouvoir. Il sera réélu comme par un mauvais tour de magie politique !…
Un « clown » à la tête de l’État :
Le spectacle offert par cette réélection n’est que le dernier acte d’une tragédie nationale. Le peuple algérien observe, amusé, ce théâtre burlesque où un vieux « Tebboune » déclinant est brandi comme le sauveur d’une nation qui sombre. Le seul problème : Ce « Tebboune » semble plus proche du naufrage que du sauvetage !… Comment redresser une économie aussi moribonde avec un Président aussi flasque, incapable d’inspirer ne serait-ce qu’un soupçon d’espoir ?
Ah, mais Tebboune va « sauver » l’Algérie, clament ses lieutenants d’un jour. Ce même Tebboune, au corps fatigué, coincé dans ses promesses vides, ses mensonges abracadabrantesques, tente de bercer une population crédule avec des discours aussi stériles que ses politiques économiques. Mais pour la jeunesse algérienne, ce n’est pas ce Tebboune fatigué qui va réussir à redonner vie à une nation étouffée par une armée omniprésente et une corruption rampante.
L’Algérie s’autoproclame sans honte « 3ème Puissance Économique Mondiale » !!! :
Entre les promesses de changement, et la réalité brutale d’un régime sclérosé, Tebboune tente LES GROS MENSONGES D’ÉTAT, selon l’adage politique : « Plus le mensonge est gros, plus il passe facilement » ou encore « Les promesses électorales n’engagent que ceux qui les croient ». Mais ce cirque électorale se transformera bientôt en lendemains désenchanteurs.
Comment ce vieux président, en quête d’une « virginité politique », perdue depuis longtemps, pourrait-il réanimer un pays paralysé par l’incompétence et la répression ? La réponse, aussi douloureuse que l’échec de son mandat précédent, semble évidente : il ne le pourra pas.
Avec un Tebboune fatigué, ne sentant pas la rose (sans jeu de mots), rabougri et dépassé par les événements, c’est bien une nouvelle descente aux enfers que le peuple algérien doit s’attendre à vivre. Mais au moins, ce nouveau-Tebboune offre encore un peu de divertissement : un Président qui veut sauver l’Algérie juste avec des fanfaronnades dépassées héritées de l’époque Soviétique, ça fait toujours rire la galerie.
La farce continue :
Le cirque politique algérien continue donc, avec un vieux Tebboune sénile en tête d’affiche et une junte militaire comme metteur en scène désespéré. Mais personne n’est dupe, surtout pas les Algériens, qui savent très bien que ce Tebboune 2.0, coincé dans ses propres contradictions et ses mensonges électorales, ne les mènera nulle part…ou plutot si : Droit dans le mur !…
Abderrazzak Boussaïd/Le7tv
