Désespérés, l’Algérie et le Polisario attaquent le Rapport de la MINURSO à la veille de la Session du Conseil de Sécurité de l’ONU

À quelques jours de la très attendue réunion du Conseil de Sécurité des Nations Unies sur le différend autour du Sahara, les milices terroristes du « Polisario » et leur mentor, l’Algerie, ont violemment attaqué Alexander Ivanko, Chef de la Mission des Nations Unies pour le Sahara (MINURSO), l’accusant d’avoir « divulgué » le contenu de son rapport semestriel avant sa présentation devant les membres du Conseil le 14 avril. L’Algerie et Polisario considèrent que ce rapport contient des données de terrain « partiales » et qu’il « sert l’agenda de Rabat ».
Selon la propagande médiatique de la junte militaire Algérienne et du « Polisario », le rapport souligne la coopération étroite des Forces Armées Royales marocaines avec les éléments de la mission Onusienne, tandis que ce rapport dénonce les « entraves méthodiques » imposées par le Polisario aux mouvements de la MINURSO à l’est du mur de sécurité, compromettant ainsi l’accomplissement de sa mission de surveillance du cessez-le-feu signé en 1991.
Le rapport fuité, largement diffusé, révèle que la MINURSO avait proposé, le 6 février dernier, un cessez-le-feu tout au long du mois de Ramadan — proposition accueillie favorablement par le Maroc, mais ignorée par le Polisario. Ce déséquilibre reflète, selon le rapport, la différence de position entre les deux parties sur le respect de leurs engagements, surtout après l’abandon officiel par le Polisario de l’accord de cessez-le-feu en 2020.
Le même rapport évoque l’évolution du conflit, soulignant l’usage par le Maroc de technologies avancées, notamment des drones, dans un cadre de légitime défense pour protéger ses unités militaires contre les provocations répétées. Les enquêtes, précise le rapport, ont confirmé que les frappes visaient des équipements et installations, sans toucher de civils.
En réaction à la campagne orchestrée par l’Algerie et le Polisario contre le Chef de la MINURSO, des membres actuels du Conseil de Sécurité ont confirmé officiellement que le Conseil tiendra une session le 14 avril consacrée à l’examen des derniers développements du dossier. Cette session comportera deux présentations officielles : l’une de Staffan de Mistura, envoyé personnel du Secrétaire Général des Nations Unies pour le Sahara, et l’autre d’Alexander Ivanko.
Ce mouvement de communication agressif de la part de l’Algérie, à travers son organe de propagande, l’APS, s’inscrit dans une tentative d’influencer l’atmosphère précédant la session du Conseil de Sécurité
Le régime Algérien et son pantin le Polisario : Les derniers soubresauts d’un mensonge qui s’effondre:
À l’approche de la session du Conseil de Sécurité des Nations Unies sur le dossier du Sahara Marocain, le régime algérien, ventriloque d’un Polisario en perte de repères, s’agite dans une frénésie désespérée. Son rejeton séparatiste, cette milice sans légitimité ni racines, multiplie les attaques contre la Mission des Nations Unies (MINURSO), accusant son chef Alexander Ivanko de diffuser un rapport « partial ». En réalité, ce que le Polisario dénonce, c’est l’éclat de la vérité qui l’aveugle : celle d’un soutien international croissant à la souveraineté pleine et entière du Maroc sur son Sahara.
La panique qui saisit les terroristes du Polisario et la junte d’Alger , trahit l’isolement diplomatique dans lequel ils s’enfoncent chaque jour un peu plus. Loin d’être biaisé, le rapport d’Ivanko met en lumière une réalité objective : la coopération loyale et constante du Maroc avec la communauté internationale, face aux entraves systématiques imposées par le Polisario à l’est du mur de sécurité. L’organisation séparatiste, armée et financée par l’Algérie, ne cherche pas la paix, mais la perpétuation d’un conflit artificiel pour justifier son existence.
Alors que le Royaume du Maroc, dans un esprit de responsabilité, a accueilli favorablement l’initiative onusienne de cessez-le-feu pour le mois sacré de Ramadan, le Polisario a préféré l’indifférence. Un mépris cynique qui confirme son rejet de toute solution politique crédible. Depuis sa rupture unilatérale du cessez-le-feu en 2020, la milice séparatiste ne cesse de provoquer, d’attaquer, de manipuler – incapable d’offrir le moindre espoir à ses propres populations séquestrées à Tindouf.
Le rapport souligne aussi l’usage légitime par le Maroc de technologies de pointe, comme les drones, pour défendre ses forces armées et ses citoyens contre les agressions continues. Contrairement aux campagnes mensongères du Polisario, aucune cible civile n’a été touchée. Ce sont des moyens logistiques militaires (véhicules), liées aux attaques ennemies, qui ont été neutralisées. Voilà une vérité que le régime algérien cherche à étouffer, lui qui orchestre l’hostilité depuis les coulisses.
Ce n’est pas un hasard si l’Algerie et le Polisario concentrent aujourd’hui ses attaques sur le Chef de la MINURSO. C’est une tentative vaine de discréditer un rapport qui confirme ce que le monde sait déjà : le Maroc est un acteur de paix et de stabilité, porteur d’une solution politique sérieuse, crédible et réaliste — celle de l’autonomie sous souveraineté marocaine, appuyée par les États-Unis et la France et de nombreuses puissances à travers le globe.
Face à cette réalité implacable, le régime algérien, reclus dans sa logique de guerre froide, ne propose rien si ce n’est le chaos. En soutenant un front fantoche, en muselant son peuple, en dilapidant ses ressources pour entretenir un conflit stérile, il s’enferme dans une impasse diplomatique dont il ne sortira qu’en renonçant à sa politique hostile envers le Royaume du Maroc.
L’Histoire est en marche. Et elle ne retiendra ni les mensonges, ni les manipulations, ni les manœuvres des nostalgiques de la division. Le Sahara est Marocain, aujourd’hui comme hier, et pour toujours.
Abderrazzak Boussaid / Le7tv