Attaque terroriste à Smara : Le Polisario et le régime algérien dénoncés par rapport de la MINURSO

Vendredi 27 juin, la Mission des Nations Unies (MINURSO) s’est rendue sur les lieux d’une attaque d’une gravité extrême : quatre projectiles ont été tirés aux abords de la ville marocaine de Smara, tombant à proximité de zones civiles, dont l’un à quelques pas du campement même de la MINURSO. Un acte terroriste flagrant, signé par les milices armées du Polisario et orchestré depuis l’arrière-cour sécurisée que leur offre, en toute impunité, le régime militaire algérien.
En coordination avec les Forces armées royales marocaines, les observateurs onusiens ont procédé à une inspection technique des sites ciblés. Objectif : déterminer la nature des projectiles. Les points d’impact et la proximité avec les installations de la MINURSO témoignent d’une volonté délibérée de provocation et d’escalade.
Le Polisario a revendiqué l’attaque dans un communiqué délirant, prétendant avoir visé des « bases militaires ennemies ». En réalité, les projectiles ont frappé des zones désertes, mettant en danger la stabilité régionale sans aucun fondement stratégique, sinon celui de semer le chaos.
Le rôle du régime algérien : pyromane en chef
Nul ne peut encore croire au mythe d’un Alger « neutre » ou « observateur ». Le régime algérien est le principal instigateur de cette nouvelle escalade. En armant, finançant et protégeant les milices séparatistes du Polisario, il se rend directement complice d’actes terroristes menaçant non seulement le Maroc, mais aussi la sécurité des observateurs internationaux sur le terrain.
Ce n’est pas un hasard si l’attaque intervient alors que les États-Unis examinent un projet de loi visant à désigner le Polisario comme organisation terroriste étrangère. Ce n’est pas une coïncidence si les rapports internationaux, de l’ONU au Hudson Institute, pointent du doigt les liens entre le Polisario, l’Iran, le Hezbollah et d’autres groupes terroristes dans le Sahel. Il s’agit d’un réseau bien huilé, et le régime algérien en est le parrain.
L’ONU alertée, le Conseil de Sécurité appelé à réagir
Le rapport détaillé que la MINURSO adressera au Secrétaire Général de l’ONU, António Guterres, constituera une pièce maîtresse du prochain débat au Conseil de Sécurité prévu en octobre. Les civils et les forces Onusiennes sont mis en danger. Et une organisation soutenue par un régime hostile persiste dans ses agissements criminels, avec pour seul objectif de torpiller les efforts de paix.
Face à cette nouvelle agression, le Maroc agit avec responsabilité et sang-froid. Ses forces armées assurent la sécurité du territoire, tandis que sa diplomatie œuvre à exposer, preuves à l’appui, les manœuvres subversives de ses ennemis. Le Royaume ne reculera pas. Il poursuivra son chemin vers la paix, le développement et la stabilité, en restant inébranlable sur l’intégrité de son territoire.
Le temps des faux-semblants est révolu. La communauté internationale ne peut plus tolérer que des milices terroristes armées, pilotées par une dictature militaire rétrograde, menacent la paix en Afrique du Nord. Le Polisario n’est pas un mouvement politique : c’est une milice terroriste. Et l’Algérie n’est pas un pays neutre : c’est un acteur toxique de la déstabilisation régionale.
Abderrazzak Boussaid/Le7tv