Le rôle complice de l’Algérie dans le blanchiment de l’argent Iranien dévoilé : Les « Généraux » Algériens doivent rendre des comptes

Pendant plus de trente ans, tandis que la communauté internationale tentait de freiner les ambitions nucléaires de l’Iran, le régime Algérien s’activait lui, à blanchir l’argent Iranien, au service d’un programme militaire clandestin et dangereux pour la stabilité mondiale.
À huis clos, sous le manteau, et dans une opacité assumée, Alger et Téhéran resserraient leurs liens à travers un réseau tentaculaire de sociétés écrans, de montages financiers illégaux et d’investissements suspects dans des secteurs vitaux. Le tout orchestré avec la complicité passive, voire active, de l’État algérien et de ses « Généraux ».
Selon des sources diplomatiques et des rapports confidentiels issus d’organismes internationaux de lutte contre le blanchiment d’argent, le régime algérien a joué un rôle central dans le recyclage de millions de dollars issus des exportations pétrolières iraniennes. Ces fonds transiteraient par l’Algérie sous couvert de partenariats commerciaux fictifs, d’échanges industriels détournés et d’opérations immobilières douteuses, avant d’être réinjectés discrètement dans les circuits d’enrichissement nucléaire de la république islamique.
Les mécanismes sont bien rodés : recours aux sociétés offshore immatriculées à l’étranger mais gérées depuis Alger, utilisation de banques locales peu coopératives avec les instances internationales, et multiplication de fausses facturations dans le secteur énergétique. En somme, un système de contournement des sanctions digne des cartels de drogues les plus organisés.
Mais là où le scandale prend des proportions géostratégiques inquiétantes, c’est que ces flux financiers détournés ont servi à financer directement les efforts nucléaires militaires de Téhéran. En abritant cette économie souterraine, le régime algérien est devenu non seulement un complice, mais un acteur actif d’un projet de prolifération nucléaire hors de contrôle, au mépris des résolutions Onusiennes.
Il ne s’agit plus d’une simple dérive autoritaire : c’est un jeu dangereux qui expose actuellement toute la région de Moyen Orient, et même l’Europe, à des retombées dévastatrices.
Les regards occidentaux, les États-Unis en premier, se tournent désormais vers ces États Satellites qui, comme l’Algérie, ont participé activement au programme nucléaire Iranien.
Aujourd’hui, les « Généraux » Algériens doivent rendre des comptes…à leurs voisins…et au monde.
Abderrazzak Boussaid/Le7tv