« Ambassadeurs de la Paix » ou « cellules-dormantes » du terrorisme international ? Le programme algéro-polisarien dans le viseur des responsables Européens

Une fois de plus, le rideau se lève sur la véritable nature du groupe séparatiste du Polisario : un instrument au service du régime militaire algérien aux commandes d’un dangereux réseau de déstabilisation régionale. Dans un article retentissant intitulé « Alerte au Sahel : le risque d’un sanctuaire djihadiste hors de contrôle aux portes de l’Europe », le média italien « ATLANTICO » tire la sonnette d’alarme sur les menaces imminentes qui pèsent sur la sécurité européenne, notamment celle de l’Italie.

Cette enquête documentée, rigoureuse et courageuse, révèle ce que le Maroc, seul rempart fiable au sud de la Méditerranée, ne cesse de dénoncer depuis des années : les accointances avérées entre les milices du Polisario et les réseaux Djihadistes opérant dans le Sahel. Ces liaisons dangereuses, longtemps occultées ou minimisées par une certaine complaisance occidentale, deviennent désormais impossibles à ignorer.

Une infiltration idéologique et terroriste:

Au cœur de cette alerte, figure le programme dit des « Ambassadeurs de la Paix », un projet piloté et financé par Alger, calqué sur l’initiative « Vacances en Paix » déjà exploitée en Espagne. Ce programme, soi-disant humanitaire, sert en réalité de couverture à une opération d’endoctrinement idéologique insidieuse, orchestrée par le Polisario et ses parrains algériens. En Italie, ce subterfuge prend des allures de cheval de Troie, ouvrant la voie à des infiltrations à visée propagandiste, voire terroriste, sur le sol européen.

L’article met en garde contre les risques concrets d’introduction de cellules radicalisées dans des environnements sensibles, sous prétexte d’actions caritatives, menaçant ainsi la sécurité nationale des pays d’accueil. L’Italie est directement pointée comme une cible vulnérable, et ses services de renseignement sont invités à faire preuve d’une vigilance accrue face à cette manipulation stratégique à double tranchant.

Le Maroc, seul partenaire fiable dans la lutte antiterroriste

Dans ce contexte explosif, le média italien souligne l’urgence de renforcer la coopération avec des partenaires régionaux crédibles, à l’instar du Royaume du Maroc. Grâce à sa diplomatie proactive, son ancrage historique dans la région sahélienne et ses services de sécurité performants, le Maroc s’est imposé comme un acteur clé dans la lutte contre le terrorisme et l’instabilité au sud du Sahara. Sa présence continue sur le terrain et sa capacité de renseignement sont devenues indispensables à toute stratégie européenne de prévention et de sécurité.

Loin d’être un simple mouvement séparatiste comme tente de le faire croire la propagande algérienne, le Polisario apparaît désormais pour ce qu’il est : un acteur actif et toxique d’un axe de déstabilisation régional. Installé dans des camps militarisés, nourri à l’idéologie de la haine, instrumentalisé par Alger pour nuire au Maroc, ce groupe se mue en véritable menace transnationale, capable de faire le lien entre séparatisme, criminalité organisée et terrorisme.

Le régime algérien, en finançant et en encadrant ces réseaux, porte une responsabilité historique et morale accablante. Non content de priver sa propre jeunesse de liberté et d’avenir, il exporte le chaos et la division à ses frontières, avec la complaisance cynique de certains relais étrangers.

L’heure n’est plus aux ambiguïtés ni aux demi-mesures. L’Europe doit ouvrir les yeux sur les dangers réels que représentent le régime algérien et sa marionnette du Polisario. Le terrorisme ne porte pas toujours des kalachnikovs ; parfois, il débarque en été, sous les habits trompeurs d’un « ambassadeur de la paix ».

Abderrazzak Boussaid/Le7tv