F-16 Marocains vs SU-30 Algériens : Le choc de la modernité et de l’efficacité Americaine de contre l’illusion de « la ferraille » Russe

Les récents affrontements aériens entre l’Inde et le Pakistan, survenus dans la nuit de mardi dernier, ont apporté une nouvelle preuve éclatante : les avions de chasse F-16, que possède également le Royaume du Maroc, sont des machines redoutables d’efficacité et de précision. Les appareils Pakistanais – des F-16 Block 52 et Block 15 – ont démontré une supériorité écrasante en abattant non seulement des Sukhoï SU-30 Indien, mais aussi des chasseurs Rafale de fabrication française. Une performance qui résonne fort… de l’autre côté de la frontière algérienne.

Car pendant que le Maroc investit dans des technologies de pointe, multiplie les acquisitions stratégiques et se prépare même à produire localement des F-16 Viper Block 72 – les plus avancés de leur catégorie – le régime militaire algérien, lui, continue de dilapider les ressources du peuple dans ce qu’il croit être une démonstration de puissance : l’achat de vieilles carcasses soviétiques repeintes aux couleurs de la modernité.

Cette obsession maladive de l’armée algérienne pour la ferraille russe n’est rien de moins qu’un gouffre financier et moral. Des milliards de dollars ont été engloutis dans l’acquisition d’armements dépassés, sans réelle valeur stratégique sur le terrain, comme l’a confirmé l’humiliante déroute du SU-30 algérien dans le ciel d’Asie. Le régime continue pourtant de s’en enorgueillir dans une propagande creuse, déconnectée de toute réalité géopolitique.

Le contraste est saisissant : alors que le Maroc s’équipe intelligemment, anticipe l’avenir et développe une véritable industrie militaire souveraine, l’Algérie reste prisonnière de ses vieux réflexes, enchaînée à une alliance russo-nostalgique qui n’apporte que frustrations et humiliations à un peuple privé de son droit au progrès.

La vérité est brutale : l’armée algérienne n’est pas un rempart, mais une pompe à siphonner l’espoir. Le pouvoir militaire, au lieu de moderniser le pays, l’enferme dans un cycle d’échec, de dépenses irrationnelles et d’isolement stratégique. Pendant que le Maroc vole vers l’avenir, l’Algérie s’enlise dans le passé.

Abderrazzak Boussaid/Le7tv