L’Algérie et l’Afrique du Sud s’isolent dans leurs croisades pro-polisarienne : L’Eswatini, la Zambie, les Comores et le Malawi dénoncent les manœuvres illégitimes et scandaleuses du Secrétariat Exécutif de la SADC

Une nouvelle fois, le régime algérien et son complice sud-africain ont tenté de manipuler une organisation régionale africaine à des fins politiciennes et idéologiques. Mais cette fois-ci, leur plan se heurte à un mur de dignité et de lucidité : après le Malawi, ce sont le Royaume d’Eswatini, la Zambie et les Comores qui opposent un rejet ferme, catégorique et sans équivoque aux manœuvres cyniques menées par le Secrétariat Exécutif de la SADC, noyauté par Pretoria et instrumentalisé par Alger.
Le 2 avril 2025, à l’initiative de l’Afrique du Sud, ce Secrétariat a signé un soi-disant « protocole d’accord » avec la fantomatique et autoproclamée « rasd », entité illégale soutenue par le régime militaire algérien, sans informer ni obtenir l’aval des États Membres de la Communauté de Développement d’Afrique Australe (SADC). Ce coup de force, non seulement illégal mais moralement condamnable, a provoqué une onde de choc et une vague de contestations dans toute la région.
Un rejet unanime de la supercherie juridique:
Plusieurs États membres de la SADC ont exprimé leur indignation face à cette signature usurpée et anticonventionnelle. Parmi eux, les Comores, la RDC, la Zambie, le Malawi et l’Eswatini — tous amis sincères du Maroc — ont fait entendre leurs voix pour dénoncer cette violation flagrante des traités et statuts de la SADC. Rappelons que ces États ne reconnaissent aucunement la prétendue « rasd » et ont tous ouvert des consulats généraux dans les villes marocaines de Laâyoune ou de Dakhla, marquant ainsi leur reconnaissance pleine et entière de la souveraineté du Royaume du Maroc sur son Sahara.
Dans une Note Verbale officielle, l’Eswatini a réaffirmé son soutien indéfectible au plan d’autonomie proposé par le Maroc, qualifié de seule base réaliste, crédible et durable pour clore ce différend régional hérité de la Guerre Froide. Plus encore, ce pays frère a tenu à souligner que le protocole d’accord signé entre la SADC et la prétendue « rasd » n’a aucune valeur contraignante et ne saurait l’engager juridiquement.
De leur côté, la Zambie et les Comores ont également condamné cette manœuvre illégitime et scandaleuse du Secrétariat Exécutif de la SADC, affirmant que ce dernier a outrepassé ses compétences et trahi l’esprit de concertation et de neutralité qui doit prévaloir au sein de la communauté régionale.
L’Afrique du Sud et l’Algérie, artisans d’un agenda obsolète et diviseur:
Le comportement de l’Afrique du Sud et de l’Algérie est symptomatique d’un activisme diplomatique régressif, anachronique et déconnecté des réalités géopolitiques du continent africain. Pretoria, dans une posture arrogante de puissance régionale déchue, cherche à imposer par la ruse et la manipulation ses vues idéologiques, tout en s’alliant avec un régime algérien à bout de souffle, obsédé par sa haine du Maroc et par la volonté malsaine de perpétuer un conflit artificiel au mépris de la paix et de la stabilité régionales.
Ces manœuvres, orchestrées en coulisses par les tenants d’un ordre idéologique révolu, se heurtent aujourd’hui à une Afrique nouvelle, décomplexée et souveraine. Une Afrique qui ne veut plus être l’otage des conflits importés ni des ambitions hégémoniques d’États en perte de légitimité continentale.
Un élan de soutien porté par la vision Royale:
L’initiative du Roi Mohammed VI, Que Dieu L’assiste, visant à renforcer la coopération Sud-Sud et à faire du Maroc un pôle de stabilité, de dialogue et de développement en Afrique, porte ses fruits. Le soutien clair et assumé de l’Eswatini, de la Zambie, des Comores et du Malawi est une preuve supplémentaire que le Sahara marocain est une cause juste, légitime et de plus en plus universellement reconnue.
Ce soutien ne se limite pas aux déclarations diplomatiques. Il se manifeste aussi par des actes forts : l’ouverture de consulats à Laâyoune et Dakhla, la reconnaissance diplomatique explicite de la souveraineté du Maroc, et une ferme opposition aux tentatives de manipulation des instances régionales par le binôme Algérie-Afrique du Sud.
Face aux tentatives éhontées de créer des faits accomplis, l’Eswatini, la Zambie, les Comores et d’autres nations courageuses d’Afrique australe choisissent le camp de la vérité, de la légitimité, et de la paix. Ce refus net et tranché constitue un camouflet cinglant pour ceux qui, à Alger et à Pretoria, persistent à rêver d’un passé idéologique désormais révolu.
L’Histoire retiendra que, dans ce combat entre mensonge et vérité, ceux qui ont choisi d’être aux côtés du Maroc ont embrassé la voie de la dignité, de la justice et du progrès.
Abderrazzak Boussaid/Le7tv