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Le Maroc et le Mali scellent leur Coopération Militaire totale, à travers une Commission Militaire Mixte, une première.

Alors que Bamako et Rabat entament une nouvelle ère de coopération militaire totale, scellant leurs liens à travers la première réunion de la Commission Militaire Mixte Mali-Maroc, le régime algérien se révèle, une fois de plus, prisonnier de son passé autoritaire et incapable de s’adapter aux dynamiques régionales modernes.

Du 17 février au 19 février, une Délégation des Forces Armées Royales Marocaines a été accueillie au Ministère Malien de la Défense. Coprésidée par le Général Malien Mahamadou Massaoulé Samaké et le Général de Brigade Marocain Abdelghani Mouhib, cette rencontre de trois jours vise à renforcer les domaines de la formation technologique et de l’équipement militaire, pour mieux répondre aux défis sécuritaires auxquels le Sahel est confronté.

Le Chef d’État-Major des Forces Armées Maliennes, le Général Oumar Diarra, s’est réjoui de ce dialogue, qualifiant cette initiative de conforme aux visions politiques du Président de la transition, Assimi Goïta. Dans un contexte où la menace terroriste et les mouvements rebelles ne cessent de croître, le partenariat entre Mali et Maroc s’affirme comme un pilier de stabilité et de modernité dans la région.

Pendant que les deux nations œuvrent à instaurer une véritable dynamique de progrès et de coopération, le régime algérien, lui, persiste dans une posture désuète. Incapable de comprendre et d’accepter les réalités géopolitiques du XXIᵉ siècle, il préfère détourner l’attention en alimentant une « guerre médiatique » de toute pièce, usant d’intelligence artificielle et de deepfakes pour semer la confusion.

Tandis que Bamako et Rabat tracent ensemble la voie d’un avenir sécurisé – avec, notamment, la mise en place imminente d’une industrie militaire malienne visant à renforcer l’équipement de ses forces – l’Algérie se perd dans des invectives stériles et des discours de confrontation, trahissant ainsi son incapacité à évoluer.

Ce comportement déplorable est le reflet d’un régime en déclin, obnubilé par ses ambitions d’un passé révolu et par une idéologie rétrograde qui ne cesse de miner ses propres fondements. Plutôt que d’investir dans des projets porteurs d’espoir et de stabilité pour l’ensemble de la région, Alger choisit de déverser sa haine contre ses voisins et de tenter de discréditer des initiatives légitimes, au mépris des besoins réels des populations sahéliennes.

Il est temps de dénoncer cette obstination pathétique qui, loin de contribuer à la paix, ne fait qu’envenimer les relations régionales. Alors que le Mali, le Maroc, ainsi que d’autres nations sahéliennes et ouest-africaines s’unissent pour bâtir un dispositif de défense mutuelle et de développement, le régime algérien se contente de jouer les trouble-fête, usant d’outils numériques pour alimenter des polémiques vaines et déconnectées de toute réalité.

La coopération militaire entre Bamako et Rabat, renforcée par cette première réunion de la commission mixte, incarne la modernité, la lucidité et l’esprit d’équipe nécessaires pour affronter les défis sécuritaires du Sahel. À l’inverse, l’Algérie, en s’obstinant dans ses manœuvres de désinformation et en refusant de se remettre en question, expose non seulement son déclin mais aussi son échec à contribuer à un avenir apaisé et constructif pour l’ensemble de la région.

Abderrazzak Boussaid / Le7tv

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