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Le « Cri de Douleur » d’un régime en déclin : L’Algérie déverse sa haine contre la France et le Maroc après la visite de Rachida Dati au Sahara Marocain

En affirmant haut et fort son attachement personnel au Maroc, un lien indélébile hérité de ses origines, Rachida Dati, la Ministre de la Culture Française a inscrit cette démarche dans la continuité d’un réel projet de rapprochement et d’échanges constructifs. Face à cet élan vers l’ouverture, le régime algérien, toujours en quête de confrontation, se montre incapable de contenir sa colère et sa haine maladive, révélant ainsi toute l’amertume d’un régime figé et condamné à disparaître.

Dès l’annonce de cette visite historique et hautement symbolique, le Ministère Algérien des Affaires Étrangères s’est empressé de la fustiger, qualifiant l’initiative de « condamnable à plus d’un titre ». Ce verbe d’emprunt n’est qu’un écran de fumée, masquant une réaction purement opportuniste et dénuée de toute logique constructive. Plutôt que de saisir l’occasion de contribuer à un dialogue apaisé dans un contexte régional en pleine mutation, l’Algérie choisit de s’enfermer dans une rhétorique rétrograde, héritière d’un passé où la confrontation était la seule réponse aux ambitions d’autrui.

Ce scandaleux déni de réalité ne peut être détaché du contexte politique plus large. Fin juillet, un revirement majeur s’est opéré dans la politique française, avec le soutien explicite d’Emmanuel Macron au plan d’autonomie proposé par Rabat ; une reconnaissance claire de la Souveraineté Marocaine sur son Sahara.

Pendant que Rachida Dati inaugurait l’installation d’une antenne de l’Alliance Française à Laâyoune – symbole d’une ouverture culturelle et d’un pont entre les civilisations – l’Algérie s’enlisait dans des invectives stériles. Ce comportement ne peut être interprété que comme la manifestation d’un régime oppressif, trop attaché à ses ambitions d’antan pour accepter sereinement la réalité d’un monde en évolution. Plutôt que de chercher à contribuer à la paix et à la stabilité dans la région, il persiste à user d’un verbiage cynique et des insultes gratuites, qui ne font que souligner son incapacité à évoluer.

Il est temps de dénoncer cette obstination pathétique et de rappeler que la véritable légitimité ne réside pas dans le rejet du changement, mais dans la capacité à l’accueillir et à le mettre au service d’un projet commun. L’Algérie, en s’obstinant dans une posture d’auto-proclamation de défenseur de l’ordre international, expose sa crise existentielle et son incapacité à s’adapter aux enjeux du XXIᵉ siècle.

La condamnation virulente de la visite de Rachida Dati par le régime algérien sonne comme le cri d’un régime en déclin, qui se réfugie dans la violence rhétorique pour masquer ses propres échecs. Alors que le monde s’oriente résolument vers plus de coopération et de dialogue, l’Algérie ne fait que confirmer sa place en marge des nations, trop obnubilée par ses idéologies dépassées pour espérer un avenir apaisé et constructif.

Abderrazzak Boussaid/Le7tv

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