Le Président Kényan se rendra en Visite d’État au Maroc : Le « Coup de Grâce » pour le régime Algérien et son rejeton, le polisario

L’annonce imminente de la Visite d’État du Président Kényan, William Ruto, au Maroc après le mois de Ramadan provoque déjà une onde de choc au sein du régime algérien. Cette Visite officielle, qui marque un tournant historique et stratégique dans les relations entre Rabat et Nairobi, constitue une gifle retentissante pour la diplomatie algérienne, qui s’évertue depuis des décennies à imposer son narratif mensonger sur la question du Sahara Marocain.
Depuis son accession au pouvoir en septembre 2022, William Ruto a fait trembler Alger en annonçant initialement le retrait de la reconnaissance par le Kenya de la chimérique « RASD », marionnette du régime militaire algérien. Ce coup de tonnerre avait immédiatement déclenché une panique à Alger, qui a mobilisé son appareil diplomatique et ses alliés pour faire pression sur Nairobi. Cédant temporairement aux manœuvres de l’Algérie et de l’Afrique du Sud, le Kenya était revenu sur sa position, plongeant ainsi sa diplomatie dans l’ambiguïté.
Mais cette visite au Maroc vient démontrer une réalité implacable : l’Algérie ne peut éternellement acheter les consciences ni manipuler les États africains à coups de pétrodollars. La dynamique diplomatique du Royaume, fondée sur des partenariats économiques solides et une coopération mutuellement bénéfique, réduit à néant les efforts désespérés d’Alger pour imposer son projet séparatiste.
L’Algérie en échec sur tous les fronts:
Alger, qui se rêve en maître de l’Afrique, se trouve aujourd’hui isolée et discréditée. Incapable d’offrir une vision d’avenir crédible, le régime algérien se contente d’une politique étrangère agressive, usant de la menace et du chantage pour influencer des gouvernements vulnérables. Mais la réalité est implacable : les pays africains ne sont plus dupes.
Avec la signature de nouveaux accords entre le Kenya et le Maroc, notamment dans les secteurs stratégiques de l’agriculture et de l’industrie, la suprématie économique du Royaume se confirme sur le continent. L’Office Chérifien des Phosphates (OCP), acteur majeur dans le domaine des engrais, est en passe de finaliser un projet d’usine au Kenya, renforçant ainsi la souveraineté alimentaire du pays et consolidant les liens économiques entre Rabat et Nairobi. Pendant ce temps, que propose l’Algérie ? Rien !… si ce n’est des promesses creuses et des discours vides de sens.
Un régime algérien aux abois:
Le régime militaire algérien, incapable de répondre aux aspirations légitimes de son propre peuple, s’accroche désespérément à son obsession anti-marocaine. Plutôt que de bâtir un avenir prospère pour ses citoyens, il dilapide ses ressources dans une propagande stérile et des tentatives infructueuses de déstabilisation du Maroc. Mais la vérité éclate : l’Algérie perd du terrain, et son influence s’effondre face à la diplomatie proactive et éclairée du Royaume.
Avec la visite imminente de William Ruto, un nouvel échec cuisant s’annonce pour Alger. L’heure est venue pour le régime algérien de faire face à la réalité : son projet séparatiste est condamné à l’échec, et sa politique d’isolement du Maroc n’a jamais été aussi dérisoire. Le Maroc, fort de ses alliances stratégiques et de son engagement en faveur du développement du continent, continue de tracer sa route, laissant l’Algérie s’enfoncer dans ses contradictions et son impuissance.
Abderrazzak Boussaid/Le7tv