Tentative d’assassinat de Brahim Ghali à coup de pierre : Des informations font état d’une attaque perpétrée dans les camps de Tindouf
Selon des sources concordantes, Brahim Ghali, chef du polisario, aurait été victime ce samedi 25 janvier d’une tentative d’assassinat perpétrée par un jeune homme de la tribu dissidente des Tindrarine. L’agresseur aurait utilisé une grosse pierre pour attaquer à la tête et au visage, le pseudo-leader des mercenaires terroristes du polisario, qui aurait été grièvement blessé avant d’être transféré en urgence vers un hôpital.
Cette attaque est une nouvelle preuve de la montée en puissance des tensions et du rejet croissant dont le polisario fait l’objet au sein même des populations qu’il prétend représenter. Les camps de Tindouf, véritable prison à ciel ouvert, sont devenus le théâtre de rivalités tribales exacerbées par la mauvaise gestion et la répression exercée par les milices du Polisario sous l’œil complice du régime algérien.
Depuis des décennies, Alger instrumentalise ce groupuscule armé dans une vaine tentative de déstabilisation du Maroc, en détournant des milliards de dollars des richesses du peuple algérien pour entretenir une bande de mercenaires corrompus et sans légitimité. Aujourd’hui, la situation semble échapper totalement aux généraux algériens, incapables de contenir la fronde qui gronde parmi les Sahraouis en quête de liberté et de dignité.
Les habitants des camps, pris en otage par une direction mafieuse et oppressive, ne cessent de dénoncer la répression brutale, la privation de leurs droits fondamentaux et l’accaparement des aides humanitaires internationales par les dirigeants du polisario. Cette tentative d’assassinat de Brahim Ghali, si elle est avérée, reflète la colère explosive qui règne au sein des populations lassées des promesses mensongères et de la propagande creuse de cette entité fantoche.
Les dissensions internes ne sont qu’un symptôme supplémentaire de la fin inéluctable du polisario, un mouvement devenu un fardeau pour ses maîtres algériens. Le silence assourdissant des autorités d’Alger face à cet incident démontre leur embarras et leur incapacité à gérer la situation chaotique qu’ils ont eux-mêmes engendrée.
L’heure est venue pour la communauté internationale d’ouvrir les yeux sur la véritable nature du polisario : une organisation criminelle qui exploite la souffrance des populations sahraouies à des fins géopolitiques. Il est grand temps que la voix des séquestrés de Tindouf soit entendue et que le régime algérien cesse de jouer avec le destin de milliers d’innocents pour satisfaire ses ambitions hégémoniques dans la région.
La rédaction /Le7tv
