Expert Algérien : Cause déjà perdue, l’affaire du Sahara est devenue une impasse diplomatico-économique qui ruine l’Algérie des « Généraux »

L’Algérie, sous le joug de sa junte militaire, s’enlise dans un isolement international qui ne cesse de croître. Une vidéo récemment diffusée sur les réseaux sociaux a mis en lumière une réalité cinglante : l’obsession des Généraux algériens pour la question du Sahara Marocain continue de coûter cher, tant sur le plan diplomatique qu’économique. Les déclarations d’un expert algérien en intelligence économique, interviewé sur un plateau télévisé, révèlent l’ampleur du gouffre dans lequel s’enfonce le pays.

Un aveu d’échec sur la scène internationale

Dans cet entretien, l’expert reconnaît sans détour que le soutien acharné de la junte militaire à une cause perdue – l’indépendance fictive du Sahara – a engendré des « problèmes diplomatiques et financiers colossaux » pour l’Algérie. Il souligne que le Conseil de sécurité des Nations unies, dominé par des membres permanents favorables à la position marocaine, a consolidé la reconnaissance internationale de la marocanité du Sahara.

Loin de peser sur la scène internationale, l’Algérie est qualifiée de « poids négligeable », incapable d’influencer les grandes décisions mondiales. Une réalité que les généraux au pouvoir refusent d’admettre, préférant s’entêter dans des politiques qui isolent le pays et fragilisent son économie.

Une économie étranglée par l’obsession militaire

Depuis des décennies, la junte algérienne mobilise des ressources colossales pour financer le Front Polisario, un mouvement séparatiste sans légitimité. Pendant ce temps, les infrastructures du pays se dégradent, le pouvoir d’achat des citoyens s’effondre et les perspectives d’avenir s’amenuisent. L’argent public, qui devrait être investi dans l’éducation, la santé ou le développement économique, est dilapidé dans une cause déjà perdue sur le terrain diplomatique et juridique.

Les experts le confirment : chaque année, des milliards sont engloutis dans une bataille vaine, tandis que le peuple algérien souffre d’un chômage endémique, d’une inflation galopante et d’une fuite massive des cerveaux.

« Une armée avec un pays, pas un pays avec une armée »

Cette formule, tristement célèbre, illustre parfaitement la réalité algérienne. Les militaires ont confisqué le pouvoir et réduisent l’Algérie à un État au service exclusif de leurs ambitions. Le régime, obsédé par la rivalité avec le Maroc, en oublie de répondre aux aspirations de sa population.

Le contraste est d’ailleurs frappant : alors que le Maroc gagne en influence internationale grâce à des partenariats stratégiques et des investissements innovants, l’Algérie s’enferme dans une politique de confrontation stérile, minée par une gouvernance militaire archaïque.

Un appel à la lucidité de l’opinion publique algérienne

Les déclarations de cet expert algérien en intelligence économique sonnent comme un cri d’alarme. Elles appellent à une prise de conscience nationale face à l’impasse dans laquelle la junte militaire a plongé le pays.

L’Algérie a tout à gagner à abandonner ses velléités séparatistes et à adopter une posture constructive sur la scène régionale.

La reconnaissance internationale de la marocanité du Sahara est désormais un fait établi, soutenu par des puissances mondiales comme les États-Unis, la France et d’autres membres influents de l’Union européenne. Continuer à nier cette réalité ne fera qu’accentuer l’isolement de l’Algérie et accroître les souffrances de son peuple.

Le futur de l’Algérie en question

Face à cette situation alarmante, une question demeure : combien de temps le peuple algérien acceptera-t-il de voir ses ressources et son avenir sacrifiés sur l’autel des ambitions démesurées de ses généraux ?

La véritable indépendance de l’Algérie ne viendra pas de ses slogans, mais de sa capacité à se libérer de la tutelle militaire, à bâtir un État au service de ses citoyens et à se réconcilier avec ses voisins pour construire un avenir commun et prospère.