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Le Mali assène une gifle Diplomatique historique à l’Algérie à l’ONU

Le Mali qualifie le Ministre Algérien des Affaires Étrangères et le Représentant Permanent de l'Algérie auprès de l'ONU d'"Énergumènes"

La junte militaire algérienne vient encore une fois de recevoir une gifle magistrale sur la scène internationale : Lors de la 79e session ordinaire de l’Assemblée générale des Nations Unies à New York, le colonel Abdoulaye Maïga, Ministre d’État et Porte-parole du Gouvernement malien, n’a pas mâché ses mots. En pleine tribune mondiale, il a sévèrement dénoncé l’Algérie, accusant ses diplomates (Le Ministre Algérien des Affaires Étrangères et le Représentant Permanent de l’Algérie auprès de l’ONU) de jouer un rôle de soutien aux terroristes, et les qualifiant d’« énergumènes », abritant des criminels tout en sirotant probablement de la chorba dans leurs refuges douillets.

Ce coup de massue diplomatique est un énième coup dur pour un régime algérien déjà vacillant. Depuis des décennies, la junte militaire qui gouverne l’Algérie avec une poigne de fer s’est illustrée par son incompétence et son incapacité à stabiliser la région, préférant jouer les pompiers pyromanes et héberger des groupes rebelles, terroristes ou sécessionnistes. Le Mali, fatigué des manigances de son voisin, a décidé de dire tout haut ce que beaucoup pensent tout bas : l’Algérie est devenue un foyer d’instabilité et une épine dans le pied de ses voisins Sahéliens.

Avec un sarcasme cinglant, il a fustigé les Algériens, en les accusant non seulement de soutenir des terroristes, mais aussi d’essayer de ressusciter l’Accord d’Alger, mort et enterré depuis janvier 2024. « Que son âme repose en paix », a ironisé Maïga à propos de cet accord, balayant d’un revers de main les tentatives algériennes de rester pertinentes sur la scène diplomatique. Il est évident que la junte militaire Algérienne, dans son aveuglement, pense pouvoir influencer le cours des événements au Sahel, alors qu’elle peine déjà à contrôler son propre territoire.

L’ironie est encore plus savoureuse lorsqu’on écoute les propos acerbes du Colonel Maïga, qui a raillé les diplomates algériens, les accusant d’offrir refuge et hospitalité à des terroristes tout en les nourrissant généreusement de plats traditionnels comme la tchaktchouka. Cette image grotesque d’Algériens jouant les hôtes bienveillants auprès de criminels a de quoi faire sourire, mais elle reflète surtout une réalité tragique : l’Algérie, loin de contribuer à la paix dans la région, s’active à attiser le chaos.

Pendant que la junte militaire algérienne continue de se fourvoyer en hébergeant des mercenaires et en tentant de maintenir des accords caducs, le Mali avance. Le colonel Maïga a rappelé avec fierté les succès de l’armée malienne, qui a sérieusement affaibli les groupes terroristes, tout en insistant sur une approche globale qui combine action militaire et développement économique.

Dans ce contexte, la junte algérienne, incapable de sortir de sa propre léthargie politique et économique, persiste dans ses tentatives désespérées de maintenir une influence qu’elle a largement perdue. La véritable question est de savoir combien de temps encore la communauté internationale va tolérer cette mascarade, où un régime autoritaire héberge des terroristes tout en prétendant jouer les pacificateurs.

Quant à la Diplomatie Marocaine, elle continue de briller par son efficacité et son pragmatisme. En marge de cette Assemblée générale de l’ONU, Nasser Bourita a invité ses voisins sahéliens à un déjeuner de travail pour discuter de l’initiative royale visant à ouvrir l’accès à l’océan Atlantique pour les États du Sahel. Une preuve supplémentaire que, pendant que la junte algérienne s’enlise dans ses alliances douteuses, le Maroc œuvre pour le progrès et le développement de la région.

Abderrazzak Boussaid/Le7tv

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