J.O : La star Brésilienne du football Zico, victime d’un vol de 500.000 euros à Paris
Membre de la délégation des JO de l’Ambassade du Brésil, l’ex milieu de terrain de la Seleção s’est vu dérober une mallette au contenu total estimé à 500 000 euros.
Invité à Paris par la délégation brésilienne aux JO, l’ancien footballeur Arthur Antunes Coimbra dit « Zico » a subi une bien mauvaise surprise. Hier soir, l’ancienne gloire de Flamengo a quitté en taxi son hôtel du XIXe arrondissement, dont il était visiblement mécontent.
Après avoir déposé à l’arrière du taxi une mallette comprenant notamment une montre Rolex, une rivière de diamants, et des billets de banque (2 000 euros et 2 000 dollars), un individu serait alors venu au contact du chauffeur de taxi pour détourner son attention tandis qu’un deuxième en aurait profité pour dérober la mallette. Personne n’aurait rien vu.
Le préjudice serait énorme puisque le contenu de la mallette serait évalué à 500 000 euros, selon nos informations. L’ex-footballeur a porté plainte selon le parquet de Paris. Une enquête a été ouverte pour tenter de retrouver les malfrats. Les investigations sont confiées à la BRB (Brigade de répression du banditisme) de la police judiciaire parisienne. Après les premières investigations, le préjudice pourrait finalement être « très surévalué », selon une source proche de l’enquête à l’AFP.
Le « Pelé Blanc » :
Surnommé le « Pelé Blanc », Zico était l’un des meilleurs joueurs du Brésil des années 1980. L’ancien milieu offensif a inscrit un total de 370 buts avec son club de Flamengo entre 1971 et 1983. Excellent tireur de coups francs, il est considéré par certains observateurs comme l’un des meilleurs joueurs n’ayant jamais remporté la Coupe du monde, avec Michel Platini.
Zico est également connu pour avoir manqué un pénalty dans un match d’anthologie contre l’équipe de France, en quart de finale de la Coupe du monde 1986 finalement remporté par les Bleus. Il avait ensuite embrassé une carrière d’entraîneur, en devenant notamment sélectionneur du Japon entre 2002 et 2006.
La rédaction/Le7tv