Alerte en Algérie : La soif frappe Béjaïa, capitale de la Kabylie !
La soif gagne dangereusement du terrain en Algérie. Après Tiaret, c’est maintenant la grande ville de Béjaïa, nichée sur le littoral méditerranéen, qui vit sous le joug d’une pénurie d’eau abjecte. Les habitants attendent désespérément jusqu’à deux semaines pour voir quelques gouttes d’eau couler de leurs robinets. Ce cauchemar sévit partout en Algérie, frappant aussi bien les grandes villes comme Oran que les localités oubliées telles que Tiaret. Et face à cette catastrophe, le régime algérien, corrompu et incompétent, ne fait que multiplier les annonces mensongères et intensifier une répression sauvage.
Le régime d’Alger s’acharne à masquer la réalité, mais la pénurie d’eau et la répression brutale finissent toujours par se révéler. Après Oran et Tiaret, c’est maintenant Béjaïa et ses communes environnantes qui souffrent atrocement. Des zones comme Tazmalt et Ighram sont littéralement asséchées, même selon la presse algérienne bâillonnée par le régime, qui admet que l’eau ne coule qu’une fois par semaine, voire toutes les deux semaines. L’approvisionnement en eau par camions-citernes, une pratique devenue habituelle chaque été, est lui aussi en crise.
Gestion Désastreuse
Les autorités osent blâmer cette crise sur le changement climatique et le manque de pluie, mais la véritable cause est une gestion catastrophique. Les équipements sont en panne et les réseaux d’adduction d’eau potable, datant des années coloniales, sont dégradés et nécessitent un renouvellement total. Le régime multiplie les promesses creuses, évoquant des projets futurs improbables, comme une station de dessalement d’eau de mer ou le forage de nouveaux puits, mais aucune solution immédiate n’est mise en œuvre.
Un Avenir incertain
Face à cette situation déplorable, l’avenir s’annonce sombre pour la Kabylie et d’autres régions d’Algérie. La région de Béjaïa, déjà victime des incendies estivaux souvent mal gérés par les autorités, continue de subir les conséquences d’un régime corrompu et incompétent. La soif, la répression et l’inaction gouvernementale présagent un avenir incertain et inquiétant pour le peuple algérien, qui continue de souffrir sous la coupe d’un régime oppressif, sénile et criminel.