L’Algérie, entre Humiliation, Bouderies et Claques Diplomatiques !
Dans une performance digne d’un théâtre burlesque, l’Algérie « la puissance régionale autoproclamée » s’est une fois de plus distinguée sur la scène diplomatique mondiale, cette fois en boycottant le Forum Rousso Arabe de Marrakech. Cet acte d’auto-exclusion vient s’ajouter à la liste déjà prestigieuse des « triomphes » diplomatiques algériens, dont le rejet humiliant de sa candidature aux BRICS, était juste une avant-première d’un triste spectacle, qui continue encore et encore !
Le Forum Russo Arabe à Marrakech, considéré comme une opportunité géopolitique majeure, s’est déroulé comme attendu, sans la présence de la junte militaire algérienne et a déclenché une salve de critiques sarcastiques des observateurs internationaux, ébahis par la faillite totale de la diplomatie des Généraux au pouvoir à Alger.
Alors que Moscou a envoyé son Ministre des Affaires Étrangères, Serguei Lavrov, à Marrakech, l’Algérie a préféré une fois de plus la stratégie de la chaise vide pour protester contre « la trahison de Moscou », son ami historique. Cette tactique de bouderies bien ancrée dans les esprits faibles et défaitistes de la junte militaire, dévoile une absence de maturité diplomatique du régime algérien.
La Haine et la rancœur, forces motrices de la politique étrangère algérienne, a guidé ce pays vers une série de défaites, la plus récente étant ce fuite du Forum où le Maroc, en tant que pays hôte, continue d’élargir son cercle d’alliés !…
Alors que Nasser Bourita, le Ministre Marocain des Affaires Étrangères, tisse des liens fructueux, l’Algérie boude dans son coin et broie du noir, comme à son habitude !…
Le Maroc et la Russie semblent se rapprocher davantage, laissant l’Algérie avec la sensation amère d’avoir raté une opportunité en or d’être présente à Marrakech. Et alors que le Maroc et Moscou envisagent des collaborations dans divers domaines, l’Algérie persiste dans son rôle d’enfant capricieux sur la scène internationale jusqu’à devenir la risée du monde !…
Ainsi, le régime algérien continue sa farce diplomatique, entre bouderies, faux-pas et claquements de portes. Le monde observe cette comédie, partagé entre incrédulité et amusement, où l’Algérie semble avoir choisi le rôle éternel de l’incompris. Une pièce de théâtre dont le dénouement incertain promet un épilogue peu flatteur pour l’image diplomatique de l’Algérie.
La rédaction /Le7tv