Vers la rupture des relations diplomatiques entre la France et l’Algérie : Le « point de non-retour » est déjà franchi

Les relations entre l’Algérie et la France connaissent une nouvelle escalade, marquées par une hystérie diplomatique du régime militaire algérien. Fidèle à sa posture paranoïaque, Alger crie au complot, accusant la France de vouloir déstabiliser le pays, alors qu’il s’agit d’une simple coopération militaire entre Paris et Rabat.
Un régime en péril qui attise la haine:
Dans un geste symptomatique de son obsession maladive pour le Maroc et de son incapacité à gérer ses crises internes, Alger a condamné les manœuvres militaires franco-marocaines prévues en septembre 2025 à Errachidia, près de la frontière algérienne. Prétextant une « provocation », le ministère algérien des Affaires étrangères a convoqué l’ambassadeur de France pour lui exprimer son « indignation ». Une réaction aussi disproportionnée que révélatrice d’un régime aux abois, incapable d’assumer sa propre faillite politique, économique et sociale.
Un bouc émissaire pour détourner l’attention:
Plutôt que d’assumer sa responsabilité face à l’effondrement du pouvoir d’achat, la corruption endémique et la répression féroce contre la population, la junte algérienne cherche désespérément à fabriquer des ennemis extérieurs. Après la France, accusée de « pratiques hostiles », et le Maroc, diabolisé en permanence, Alger tente de détourner l’attention de son peuple par un discours nationaliste creux et agressif.
Le régime algérien, obsédé par le soutien de la France à l’intégrité territoriale du Maroc, utilise la question du Sahara pour envenimer les relations. Depuis que Paris a exprimé en 2021 son appui au plan d’autonomie marocain, Alger ne cesse d’exagérer les tensions, refusant tout dialogue constructif.
Une déstabilisation qui vient de l’intérieur:
Pendant que les généraux algériens fantasment sur des complots imaginaires, le peuple algérien continue de souffrir d’un chômage endémique, d’une fuite massive des cerveaux et d’une répression impitoyable. L’arrestation récente de l’écrivain Boualem Sansal, persécuté pour ses opinions, n’est que la dernière illustration de l’intolérance d’un régime qui ne survit que par la peur et la censure.
De plus, la question de l’immigration a exacerbé les tensions avec Paris. Alger, refusant de récupérer ses ressortissants expulsés de France, joue la carte du chantage migratoire, tout en fermant les yeux sur l’afflux incontrôlé de ses jeunes fuyant un pays sans avenir.
L’Algérie, seule contre tous !
Alors que le monde avance, l’Algérie s’isole dans un discours belliqueux et archaïque. Son obsession du Maroc et sa méfiance maladive envers la France ne sont que les symptômes d’un régime qui redoute sa propre chute. Mais jusqu’à quand pourra-t-il tromper son peuple ? La vérité est que l’ennemi de l’Algérie n’est ni à Rabat ni à Paris : il réside au sommet d’un État militaire qui sacrifie son peuple pour préserver ses privilèges.
Abderrazzak Boussaid/Le7tv