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French Montana accusé de nouveau d’agression sexuelle !

Après des vidéos publiées sur YouTube, deux femmes ont accusé le rappeur américain d’origine marocaine, French Montana, de les avoir agressées sexuellement.

Selon le blog de Perez hilton, la première a raconté que le rappeur américain d’origine marocaine avait tenté de la violer à W hotel lors d’un dîner il y a environ quatre ans, quant à la deuxième femme dans sa vidéo revient sur les faits, lesquels s’étaient produits à Las Vegas en 2018. Elle a dit avoir été présentée à l’ex de Khloé Kardashian par le biais d’un ami commun la même année. La victime et son amie étaient dans une boîte de nuit où French donnait un show. Ce jour-là, elles avaient rejoint l’entourage du rappeur pour un voyage retour. Ils étaient entrés dans sa suite d’hôtel.

À en croire Rose, le rappeur lui avait demandé de le rejoindre dans sa suite. «J’y suis allé et il a dit qu’il ne voulait pas que nous conduisions ivre ou quoi que ce soit. Il a dit qu’il allait avoir une chambre d’hôtel pour moi et mon amie. Quand je suis arrivée là-bas, j’ai découvert qu’il avait en fait expulsé deux membres de son entourage hors de leur chambre pour que nous y restions», a raconté la présumée victime.

Elle dit s’être réveillée sobre le lendemain matin et s’est préparée à partir : «J’entre dans la suite de French Montana, mon amie est sur le lit, et French Montana se lève du lit. Il s’approche du lit, derrière moi, et commence à me toucher un peu. Et je lui ai dit : Non». Son refus ne freine pas l’élan du rappeur selon ses dires. «Il m’introduit dans l’autre pièce de la suite et dans une salle de bain, et je ne sais pas pourquoi je l’ai suivie là-dedans. Il me touchait à nouveau, j’étais dans un coin, et il est arrivé…» a terminé la présumée victime.

Pour rappel, cette accusation n’est pas la première dans le parcours de French Montana, en mars 2018 une femme non identifiée et que la justice a enregistrée sous le fameux pseudonyme, Jane Doe a porté une plainte intentée contre l’artiste, l’un de ses employés Mansour Bennouna et son label Coke Boys Records.

Ibtihal Bassir/Le7tv.

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