Les réserves algériennes en hydrocarbures se sont vidées comme peau de chagrin !
l'Algérie n'a presque plus de Pétrole ni de Gaz dans ses sous sols !
Devant les rumeurs persistantes des experts internationaux en hydrocarbures qui affirment tous que l’Algérie n’a plus autant de Pétrole ni de Gaz dans ses sous sols, ou du moins, pas en quantités aussi suffisantes, comme veulent bien nous dire les responsables algériens, pour relancer une économie moribonde qui se base à 98% sur elles pour maintenir en survie une population de 45 millions d’habitants !…
Ainsi, dans ce climat d’alerte générale, pour ne pas dire de panique totale, Abdelmadjid Attar le Ministre de l’Énergie algérien, a volontairement martelé ce mardi, sans rassurer et sans convaincre personne, que les réserves en hydrocarbure dans le sous-sol algérien sont toujours en grandes quantités, mais « à découvrir ». Notez bien ce mot « à découvrir » !!!…
« Il y a encore des hydrocarbures à découvrir en Algérie », a-t-il en effet affirmé lors de son intervention sur les ondes de la chaîne3 de la Radio Nationale. Il a dans ce sens, révélé que plusieurs grands investisseurs sont présents depuis 2020 afin d’évaluer les opportunités des nouveaux gisements à trouver !…
Afin d’exploiter ces richesses « éventuelles » et « hypothétiques » du sous-sol, Attar a rappelé que la Sonatrach avait prévu 40 milliards de dollars d’investissement dans son dernier plan quinquennal. Pour trouver ces financements extraordinaires, que l’Algérie n’a pas, le Ministre de l’Énergie, a précisé que « le prochain partenaire en investissement prendra les coûts de la recherche à hauteur de 100 % ». Autrement dit : Sonatrach n’est pas obligée de participer dans le développement des gisements hypothétiques qui vont être découverts… inch’Allah !…
Pour Abdelmadjid Attar, l’Algérie est toujours à la recherche d’investisseurs dans le domaine de la pétrochimie également. « Si on veut concrétiser les projets de pétrochimie, il nous faut 16 à 18 milliards de dollars », a-t-il indiqué. Par ailleurs, le Ministre de l’Énergie a voulu répéter pour rassurer les éventuels investisseurs étrangers, ou pour se rassurer lui-même : « les avantages fiscaux introduits dans la nouvelle loi des hydrocarbures rendront sûrement le pays plus attractif. L’Algérie deviendra alors un pays attractif pour l’investissement dans le domaine énergétique » !…
Cependant, les experts en économie internationale sentent tous que le discours entendu est plutôt un discours démagogique, de désespoir, annonçant « une fin d’époque », plus qu’autre chose !…
Abderrazzak Boussaïd/Le7tv