Il y’a les 24h du Mans et les 48h de Imi Ouaddar .
Il y’a les 24h du Mans et les 48h de Imi Ouaddar.
Par Nourreddine Regragui
Du soleil en plein fin novembre. Agadir ville du soleil se confirme.
Taghazout,exactement la petite localité de Imi Ouaddar, c à 2 pas et c’est là que les Soussis vont célébrer le Moussem de la moto.
Paradis Plage. Le nom n’est pas trop pléthorique. Un Havre de paix face aux vagues. On y trouve du sourire, services duty free et pas besoin d’aller aux îles Maldives. Mettre en relief ce don du ciel nommé “ Imi Ouadar “. On est à 8 ans d’un événement qui se soigne et c’est vrai, l’entrée des Buggy, est géniale.
De la moto pour les 7 à 77 ans, les Hamza, Malti, Ozores, Souleimane Saad, Amine Echiguer, Morgan Cantarel, Khalid Kabbaj, Romain Descamp, Charlotte et Robert Cantarel, Naima Kabbaj et que des meilleurs ont résisté à une difficulté nommée… Sable.
Chez les Quad, les biceps ont doublé d’efforts de même, pour les gentlemen pilotes des SSV. Ces Buggy de la planète Mars.
Un championnat du Maroc. Ah, si la Fédé suivait. On peut faire ça à Sâadiya, Dakhla ou Ouarzazate. Absence de la fédé mais présence des partenaires stratégiques dont on cite Motomania, Dafy, KTM, Yamaha et bien entendu, le toujours présent, Red Bull.
48 h d’un événement 5G. Bien sûr que pour Gabari Harit, celui qui réussit un Paris / Dakar ne peut que récidiver sur un terrain sablonneux qui ne pourra jamais être un château de sable.
Bravo aux gens sérieux.