Du respect pour nos morts.
Du respect pour nos morts.
Par Regragui Nourreddine.
Abdelkader Ben Jilali n’est plus ou aussi Malika Ghdaifa.
N’est plus, ce qui veut dire, anéanti, gommé, sans aucune trace, comme ci le monsieur ou la dame n’ont jamais existé. Oui, diront les Laroussiens. C’est une façon de parler.
A la lecture de qlq titres relatifs à feu Abdeljebar Louzir ou la défunte, Touria Jabrane. Ça m’a énervé de croiser ce genre de titres qui ne prennent pas en considération le palmarès, la bonté, les services de nos morts.
« N’est plus », je préfère dire » Abdeljebar, tu nous manquera ». « Touria l’irremplaçable » ; « Dolmy, on t’aimera » ; » Youssefi, le Maroc te pleure » etc…
Du respect, pour nos morts. Un jour, on sera tous sous cette même terre qui nous unis.
Dites de jolis mots.
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