Tirs de roquettes près de Smara : Le régime algérien et ses milices terroristes du Polisario franchissent une nouvelle ligne rouge
Un acte d’agression d’une gravité extrême a été commis ce vendredi par les milices du Polisario, sous la bénédiction complice du régime algérien. Quatre projectiles ont été tirés depuis l’est du mur de sécurité dans la région de Smara, au sud du Maroc, à proximité de la zone où est stationnée la mission des Nations Unies (MINURSO). Heureusement, aucune victime humaine ou perte matérielle n’a été enregistrée. Mais le message est clair : l’organisation séparatiste armée ne recule devant rien, et Alger continue de nourrir l’instabilité régionale à coups de provocations militaires.
Le Polisario : une milice terroriste qui agit au service de l’Iran et du Hezbollah
Derrière ces tirs, ce n’est pas seulement un groupuscule de mercenaires qui se cache, mais un axe régional de subversion : L’axe Alger-Téhéran. Cette attaque intervient alors que le Congrès Américain s’apprête à examiner un projet de loi visant à classer le Polisario comme organisation terroriste étrangère (FTO). Un tournant salutaire pour la justice et la sécurité internationale.
Les récentes alertes lancées par plusieurs rapports onusiens et think tanks internationaux, comme le Hudson Institute, confirment que le Polisario ne peut plus être traité comme un simple acteur politique, mais bien comme une organisation armée aux connexions terroristes. Elle bénéficie du soutien logistique, idéologique et militaire de l’Iran, et utilise les camps de Tindouf, situés sur le sol algérien, comme base arrière pour des activités hostiles menaçant l’équilibre de toute l’Afrique du Nord.
Le régime algérien : parrain d’un terrorisme régional dangereux
Le véritable commanditaire de cette escalade est connu : le régime militaire d’Alger, qui continue de financer, d’armer et de protéger le Polisario. Depuis des décennies, l’Algérie prétend faussement être un observateur neutre du conflit du Sahara, alors qu’elle est en réalité le principal artisan d’une déstabilisation régionale nourrie par sa haine viscérale envers le Maroc.
En fournissant un sanctuaire aux milices du Polisario, en les dotant de roquettes, de financements opaques et de relais diplomatiques, le régime algérien met en danger non seulement la paix régionale, mais aussi les intérêts des grandes puissances qui cherchent à contenir l’expansion de l’Iran et du Hezbollah en Afrique.
Le Maroc, pilier de stabilité, ciblé pour ses succès diplomatiques
Pendant que le Royaume du Maroc œuvre pour le développement, la paix et la coopération sud-sud, ses ennemis s’agitent dans l’ombre. À mesure que le Maroc consolide son partenariat stratégique avec les États-Unis, renforce sa présence en Afrique, et s’impose comme un acteur majeur dans la sécurité régionale, l’axe Alger-Téhéran-Daech tente de freiner cette dynamique par tous les moyens — y compris par des actions terroristes.
Mais ces attaques lâches ne font que renforcer la légitimité du Maroc et sa position sur la scène internationale. Elles exposent la nature violente et anachronique du Polisario, ainsi que l’implication criminelle du régime algérien, qui devrait désormais être compté parmi les régimes soutenant le terrorisme.
L’heure de vérité approche:
Le Maroc ne se laissera pas intimider. Les forces armées royales sont intervenues rapidement après les tirs de Smara, accompagnées de la Gendarmerie Royale et de la Protection civile, pour lancer une enquête rigoureuse. Le Royaume continuera de défendre avec fermeté son intégrité territoriale et de dénoncer la duplicité algérienne.
Quant à la communauté internationale, elle ne pourra plus détourner les yeux. L’impunité du Polisario doit cesser. Et le régime algérien devra bientôt rendre des comptes.
Abderrazzak Boussaid/Le7tv
