États-Unis : Le régime algérien et son bras armé, le Polisario, bientôt reconnus comme une menace terroriste internationale

Un vent de vérité souffle enfin sur la scène internationale. À Washington, un projet de loi bipartisan vient de faire l’effet d’un séisme diplomatique : le Front Polisario, cette entité artificielle, créée de toutes pièces par le régime algérien, est désormais dans le viseur du Congrès américain pour être classée organisation terroriste étrangère. Le rideau se lève sur une imposture historique, soutenue depuis un demi-siècle par une junte militaire algérienne en perte de repères et désormais isolée.
Ce projet de loi, déposé le 24 juin 2025 par le Républicain Joe Wilson et co-parrainé par le Démocrate Jimmy Panetta, marque une rupture nette avec les ambiguïtés diplomatiques du passé. Il établit clairement ce que nombre d’observateurs géopolitiques et services de renseignement savaient déjà : le Polisario est une milice marxiste armée, soutenue par l’Iran, le Hezbollah et la Russie, et agissant comme un outil de déstabilisation de la région au service de Téhéran.
L’axe Alger-Téhéran : une menace régionale nourrie d’hostilité contre le Maroc:
L’Algérie n’a jamais œuvré pour la paix. Bien au contraire, elle s’est acharnée à maintenir un conflit artificiel en entretenant à coup de milliards de pétrodollars un mouvement séparatiste sans légitimité, dont les responsables vivent dans le luxe à Tindouf pendant que des milliers de Sahraouis croupissent dans la misère.
Ce soutien aveugle à une cause perdue s’inscrit dans une obsession maladive : empêcher coûte que coûte l’émergence du Maroc comme puissance régionale, entraver son rayonnement atlantique, et surtout saboter son intégrité territoriale. Mais à force de jouer avec le feu, le régime algérien se brûle : en s’alliant avec l’Iran des mollahs, avec Poutine et avec les milices du Hezbollah, Alger prend le parti de la marginalisation internationale.
Le Maroc, allié historique des États-Unis, se renforce dans sa légitimité:
Face à cette menace, les États-Unis réaffirment leur position stratégique : le Royaume du Maroc est un allié fiable et stable depuis 248 ans, la première nation à avoir reconnu l’indépendance des États-Unis. Le plan d’autonomie proposé par Rabat reste la seule solution viable, crédible et réaliste, comme l’a déjà reconnu Washington, de même que de nombreuses puissances européennes et africaines.
La manœuvre du Congrès est donc bien plus qu’un simple geste symbolique. Elle annonce un tournant. Le texte prévoit non seulement la désignation du Polisario comme FTO (Foreign Terrorist Organization), mais aussi des sanctions directes contre ses dirigeants et ses soutiens. Une première dans l’histoire du conflit artificiel du Sahara.
Un message clair à Alger : l’impunité est terminée
Ce projet de loi est un camouflet cinglant pour le régime d’Alger. Lui qui se présente faussement en « pays non impliqué » se voit désormais exposé pour ce qu’il est réellement : le principal instigateur d’un conflit inutile, le protecteur d’une organisation paramilitaire armée, et un partenaire stratégique d’ennemis notoires de l’Occident.
Il est temps pour la communauté internationale d’ouvrir les yeux. Les camps de Tindouf sont devenus des foyers de radicalisation, où les enfants sont embrigadés, où l’aide humanitaire est détournée, et où les droits humains sont piétinés au nom d’un projet séparatiste mort-né.
Le Maroc avance, l’Algérie s’enlise:
Pendant que le Maroc construit, innove, investit dans le continent africain et s’impose comme un acteur de la paix et du développement durable, l’Algérie persiste dans ses manœuvres hostiles, soutenant une organisation aujourd’hui sur le point d’être reconnue comme terroriste.
L’Histoire retiendra que le Maroc a choisi la voie de la légitimité, de la stabilité et du droit international. Et que le régime algérien, par obstination et aveuglement idéologique, s’est enfermé dans l’isolement et l’alliance avec les forces de la subversion globale.
Abderrazzak Boussaid/Le7tv