Quatre officiers Algériens tués dans un bombardement en Iran : La preuve accablante d’une alliance secrète entre les ennemis du Maroc ; Les militaires d’Alger et le régime criminel des Ayatollahs

Quatre officiers algériens ont récemment trouvé la mort à Téhéran suite à un bombardement Israélien ciblant des infrastructures militaires des Gardiens de la Révolution Islamique. Une information à première vue choquante, mais surtout accablante, qui met à nu une réalité occultée : la complicité stratégique entre le régime militaire algérien et le pouvoir théocratique des Ayatollahs, tous deux farouchement hostiles au Maroc.
Les officiers algériens — Lamine Zoukar, Mostafa Dahrouch, Saïd Rachdi et Tajeddine Magouli — ne se trouvaient pas à Téhéran pour une visite touristique. Leur présence au sein d’un site militaire iranien pris pour cible par l’armée israélienne en dit long sur la nature clandestine, inavouée et idéologiquement alignée de la coopération entre Alger et Téhéran. Elle jette par la même occasion une ombre lourde sur la fameuse doctrine algérienne de « non-ingérence » : un principe qui ne résiste pas à l’épreuve des faits.
Alors que le peuple algérien subit l’appauvrissement, la répression et la censure, ses généraux envoient en catimini leurs officiers mourir sur des fronts qui ne concernent en rien l’intérêt national algérien. Que faisaient ces hauts gradés dans une base militaire iranienne ? Pourquoi leur présence n’a-t-elle jamais été rendue publique ? Pourquoi ce silence assourdissant du régime algérien, habituellement prompt à agiter le drapeau du « panafricanisme » ou de « l’autodétermination » ?
Parce que cette alliance avec l’Iran ne vise pas la défense des peuples opprimés. Elle répond à une seule logique : nuire au Maroc. Le régime algérien, dévoré par sa haine viscérale du Royaume chérifien, s’est rapproché du pire : un Iran honni par la majorité du monde arabe, isolé sur la scène internationale, et réputé pour sa politique déstabilisatrice dans la région.
Alger – Téhéran : L’alliance de deux régimes en faillite
Ce rapprochement entre Alger et Téhéran n’est pas seulement une alliance militaire : c’est l’union cynique de deux régimes en déclin, gangrenés par la corruption, la propagande et l’autoritarisme. Deux régimes qui partagent une même obsession : étouffer la voix du peuple, instrumentaliser la religion ou la révolution, et faire du Maroc un ennemi utile à leur survie politique.
Mais les faits sont là : même les bombardements israéliens révèlent aujourd’hui la supercherie algérienne, et exposent au grand jour les dérives d’un régime qui préfère envoyer ses officiers mourir en Iran plutôt que de répondre aux aspirations de sa jeunesse.
Abderrazzak Boussaid/Le7tv