Barbouzerie d’État et Dérives Mafieuses : Quand le régime algérien traque ses opposants jusque dans les rues de Paris

Quand un régime militaire n’a plus ni légitimité, ni honneur, ni scrupules, il envoie ses barbouzes jouer aux espions minables sur le sol d’un pays souverain. L’enquête explosive du Journal du Dimanche, sobrement intitulée « Barbouzeries algériennes en France : tout ce qui accuse Tebboune et son régime », met au grand jour une réalité honteuse et accablante : le régime algérien, dirigé par le président-marionnette Abdelmadjid Tebboune, mène depuis des années une guerre secrète et illégale contre ses opposants… en territoire étranger.
L’État algérien ou le parrainage de la criminalité d’État:
Abdelmadjid Tebboune, Président de façade d’un régime tenu par une junte paranoïaque, aurait directement ordonné, selon des sources sécuritaires françaises, des opérations clandestines visant à traquer, intimider, enlever ou faire taire ses détracteurs réfugiés en France et en Espagne. Un remake grotesque des pires heures de la guerre froide, sauce militaire algérienne.
Parmi les victimes ciblées : Amir DZ, youtubeur connu pour ses critiques acerbes, enlevé en plein Paris ; Abdou Semmar, journaliste indépendant, violemment agressé ; Hichem Aboud, kidnappé à Barcelone le 17 octobre 2024. Le point commun ? Tous sont des voix que le régime ne supporte plus d’entendre, même à des milliers de kilomètres d’Alger.
Tebboune, le Président à la rancune tenace et à la diplomatie de voyou:
Tebboune, décrit comme un homme rancunier, colérique et obsédé par la répression, n’est pas un chef d’État, mais un chef de clan, pour qui la diplomatie est un instrument de terreur, et les ambassades des officines d’espionnage. L’ambassade d’Algérie à Paris serait devenue, selon l’enquête, un véritable QG opérationnel pour barbouzes déguisés en diplomates, usant de messageries cryptées, de traceurs GPS, et de valises de cash pour surveiller et payer leurs sbires.
Les preuves sont irréfutables : bornages téléphoniques, échanges chiffrés, transferts d’argent, et même la présence de dispositifs de traçage activés depuis l’ambassade. Le comble ? Certains diplomates ont fui la France précipitamment, comme des voleurs pris en flagrant délit. On est loin du service consulaire.
La DGSI en alerte, la France outrée:
Face à cette ingérence mafieuse, la France commence enfin à hausser le ton. Le Quai d’Orsay a demandé la levée de l’immunité d’un agent diplomatique algérien pour l’interroger, et la DGSI a placé sous surveillance renforcée les derniers barbouzes encore sur place. Mais combien d’autres opérations ont échappé aux radars ? Et combien d’autres exilés vivent désormais dans la peur ?
Une purge interne…par vengeance, pas par justice:
Ironie macabre : au lieu de rendre des comptes, le régime algérien s’auto-déchire. Les généraux se dévorent entre eux, non pas par souci de légalité, mais pour des questions d’ego et de pouvoir. Des têtes tombent — comme celles de Djebbar ou Mouad — mais le général Sadek, bras armé du régime à la tête des services extérieurs (DGDSE), reste en place, prêt à activer de nouveaux relais en Europe.
Un État-Voyou qui confond opposition et terrorisme:
Dans ce régime, toute critique est assimilée à un crime, et la pensée libre est une menace. Des interdictions de sortie de territoire (ISTN) sont distribuées à la chaîne, sans justification, comme autant de preuves d’un pouvoir aux abois, en guerre contre ses propres citoyens.
L’Algérie de Tebboune : le Venezuela du Maghreb !
En s’attaquant à ses opposants à l’étranger, l’Algérie de Tebboune s’aligne sur les pratiques des dictatures les plus répugnantes. Ce n’est plus seulement une dérive autoritaire : c’est une chute libre vers un régime de type mafieux, où le crime d’État est institutionnalisé, et où l’immunité diplomatique sert de bouclier à des opérations crapuleuses.
La communauté internationale, à commencer par la France, ne peut plus se contenter de notes de protestation polies. Il est temps de dire les choses telles qu’elles sont : le régime algérien est devenu une menace transnationale.
Et Tebboune, loin d’être un dirigeant respecté, n’est que le triste pantin d’un système répressif, paranoïaque et gangrené par la corruption et la haine de la liberté.
Abderrazzak Boussaid/Le7tv