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Panne Électrique en Espagne : Le régime algérien serait à l’origine de la cyberattaque

Lundi 28 avril, un black-out massif plongeait l’Espagne, le Portugal et certaines régions françaises dans un chaos électrique sans précédent. Derrière ce désastre technologique, un nom revient avec insistance dans les cercles d’experts en cybersécurité : Le régime algérien.

Alors que la lumière revient lentement dans la péninsule ibérique, les ombres s’épaississent autour de l’origine de cette panne monumentale. Métros paralysés, trains à l’arrêt, télécommunications coupées, distributeurs HS, feux de signalisation défectueux, et des millions de citoyens livrés à eux-mêmes dans une Europe figée par l’obscurité. L’incident, qualifié de « plus grave enregistré en Europe ces dernières années » par la Commission Européenne, n’a rien d’anodin. Il porte, selon plusieurs analystes, les marques d’une opération offensive coordonnée: Et le suspect principal et le seul commanditaire serait le régime militaire algérie

L’Algérie, puissance obscure du Maghreb en guerre larvée avec le Maroc et presque en rupture diplomatique avec l’Espagne et la France, aurait-elle franchi le rubicon en orchestrant, depuis des réseaux de dark-web russes, une attaque cybernétique contre les infrastructures électriques européennes ?…Selon les experts, cette hypothèse serait plus que crédible depuis la reconnaissance par Madrid de la souveraineté du Maroc sur son Sahara.

Un mobile évident:

En effet, depuis la décision de l’Espagne de soutenir le plan marocain d’autonomie pour le Sahara, Alger n’a cessé de manifester sa rage par des ruptures diplomatiques, des menaces énergétiques, et une propagande haineuse tous azimuts. Le revirement de Pedro Sánchez en faveur du Maroc a été perçu comme une trahison par un régime algérien aux abois, humilié sur la scène internationale.

Alger serait  déjà soupçonné d’être derrière des cyberattaques contre des intérêts marocains via des partenariats opaques avec certains réseaux de hackers russes et iraniens. Pour les Généraux algériens, s’en prendre au réseau électrique Espagnol, c’est envoyer un message de déstabilisation clair, dans un contexte géostratégique déjà tendu avec Madrid.

Alors que certains officiels s’empressent de rejeter la thèse de la cyberattaque — Pedro Sánchez et Antonio Costa en tête — d’autres voix plus lucides, comme celle du président de la région andalouse Juanma Moreno, n’excluent aucun scénario. Faut-il rappeler que les cyberattaques sophistiquées laissent rarement des traces visibles immédiatement ? Faut-il rappeler que la stratégie favorite du régime algérien repose précisément sur le déni systématique, les opérations sous faux drapeau, et l’usage d’intermédiaires pour masquer son implication directe ?

Ce n’est pas la première fois que l’Algérie est suspectée de cyberattaques. Déjà en 2022, plusieurs serveurs espagnols avaient été la cible de tentatives d’intrusion, tout comme des entités françaises sensibles. Ce n’est pas non plus un hasard si Alger a renforcé sa coopération secrète avec des organisations secrètes, iraniennes et russes, spécialisés dans la cyberguerre, dans une logique d’hostilité permanente envers son voisin (le Maroc) et ses anciens partenaires européens (la France et l’Espagne) qui lui ont tourné le dos sur la question du Sahara Marocain.

Le régime algérien, retranché dans un autoritarisme paranoïaque, cherche à imposer sa vengeance par tous les moyens. Aujourd’hui, l’arme n’est plus le gaz, mais le sabotage silencieux d’infrastructures vitales.

L’Union européenne peut-elle encore faire preuve de naïveté ? Les cyberattaques sont désormais des actes de guerre. Si la piste algérienne se confirme, elle devra être suivie de sanctions diplomatiques sévères et d’une refonte complète des systèmes de sécurité électrique, énergétique et numérique à l’échelle continentale.

La lumière est revenue sur la péninsule ibérique, mais le voile noir qui recouvre la vérité reste entier. Et derrière, l’ombre d’Alger plane lourdement.

Abderrazzak Boussaid/Le7tv

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