Le régime Algérien et le Polisario : Une alliance sombre au cœur du Terrorisme International

Dans une révélation accablante publiée récemment par le prestigieux quotidien Américain The Washington Post, le monde découvre une fois de plus le vrai visage du Polisario : celui d’un groupe armé, criminel, enraciné dans les réseaux les plus obscurs du terrorisme international. Pire encore, ces révélations jettent une lumière crue sur l’implication directe de ce groupuscule, choyé et nourri par le régime militaire algérien, dans des réseaux armés soutenus par l’Iran en Syrie.
Les faits sont limpides. Selon le rapport, plusieurs combattants du Polisario ont été formés par les Gardiens de la Révolution iraniens et déployés dans des zones de guerre comme Palmyre et El Qousseir. Aujourd’hui, nombre d’entre eux croupissent dans les geôles du nouveau gouvernement syrien, lequel s’attèle courageusement à démanteler les réseaux d’armes et de drogues hérités du régime Assad et de ses alliés islamistes.
L’Algérie, matrice du terrorisme et de l’instabilité
Ce qui choque et révolte le plus dans ces révélations, c’est que cette organisation terroriste qu’est le Polisario continue de prospérer sous la protection bienveillante et complice de l’État algérien. Le régime militaire d’Alger, dont l’obsession maladive à l’égard du Maroc frôle la pathologie diplomatique, a fait du Polisario son proxy, son bras armé, son outil de nuisance au service d’une géopolitique aussi stérile que dangereuse.
Ce n’est pas la première fois que le Polisario est cité dans des affaires de terrorisme, de trafic d’armes, ou de drogue. Mais cette fois, l’implication avec les réseaux iraniens et le Hezbollah libanais place le groupe sahraoui dans la même catégorie que les milices chiites radicales qui ont semé la mort et la destruction au Moyen-Orient. Des usines de captagon découvertes à la frontière libano-syrienne, une drogue utilisée pour financer les milices du Hezbollah – et parmi les acteurs de ce trafic, les hommes du Polisario, formés, équipés et encouragés par Téhéran.
Le double jeu cynique de l’Algérie
Comment le régime algérien, qui prétend défendre la « liberté des peuples » et brandit à chaque tribune le droit à l’autodétermination, peut-il continuer à héberger, financer et armer un groupe désormais classé dans les sphères terroristes les plus inquiétantes du globe ? La réponse est simple : parce que ce régime, dictatorial et fermé, n’a jamais poursuivi la paix ni la stabilité, mais uniquement la confrontation et la division.
L’Algérie n’a jamais cherché la paix au Sahara. Elle a créé de toutes pièces une fiction géopolitique, le « Polisario », pour miner l’intégrité territoriale du Maroc et semer le chaos au Maghreb. Aujourd’hui, cette chimère s’est retournée contre son maître, impliquée dans des trafics qui financent le terrorisme mondial, souillant davantage le nom d’un pays déjà discrédité par la répression de son peuple, la corruption de ses élites et la faillite de son modèle.
La communauté internationale doit ouvrir les yeux
Il est temps que les institutions internationales – ONU, UE, UA – cessent de se prêter à l’ambiguïté. Un groupe armé impliqué dans les réseaux iraniens en Syrie, complice du Hezbollah, acteur du trafic de drogue transfrontalier, ne peut plus être qualifié de « mouvement de libération ». Le masque est tombé : le Polisario est une organisation terroriste, et l’Algérie en est la marraine.
Abderrazzak Boussaid/Le7tv