Le Mali ferme son espace aérien aux avions algériens et inflige une humiliation cinglante au régime militaire d’Alger

Ce lundi 7 avril, le Mali a répondu avec une fermeté implacable à la provocation orchestrée quelques heures plus tôt par le régime militaire algérien. En réaction immédiate à la fermeture unilatérale de l’espace aérien algérien aux avions maliens, Bamako a riposté du tac au tac en fermant son ciel aux aéronefs algériens, brisant ainsi l’arrogance diplomatique d’un pouvoir algérien de plus en plus isolé et discrédité sur la scène régionale.
Un affront de trop : l’Algérie dépasse la ligne rouge
Le régime algérien, fidèle à sa stratégie d’agression et de manipulation, croyait pouvoir imposer une énième humiliation au Mali. Mais cette fois-ci, le gouvernement de la Transition ne s’est pas laissé intimider. Après l’abattage d’un drone malien par les forces algériennes, sur fond de mensonges d’État et d’un mépris total pour la souveraineté d’un pays frère, Alger a franchi une ligne rouge.
En fermant son ciel aux avions maliens ce lundi matin, le régime d’Alger a révélé son vrai visage : celui d’un pouvoir autoritaire, paranoïaque et belliqueux, prêt à saboter la stabilité régionale pour défendre ses obsessions idéologiques et son soutien absurde à une entité fictive : la pseudo-RASD.
Une riposte malienne claire, rapide et sans ambiguïté
La réponse malienne ne s’est pas fait attendre. Moins de douze heures après la décision algérienne, Bamako a barré à son tour l’accès à son espace aérien à tous les avions civils et militaires algériens, envoyant un message clair : le temps du mépris est terminé. Le Sahel ne pliera plus devant l’arrogance d’un régime en décomposition.
Cette décision marque un tournant : le Mali, en parfaite coordination avec ses alliés du Niger et du Burkina Faso, refuse désormais de jouer le jeu d’un voisin toxique qui se veut « médiateur régional », alors même qu’il alimente les conflits, soutient les groupes séparatistes et sabote toute tentative de coopération sécuritaire.
Le régime algérien face à son isolement abyssal
En soutenant le mouvement terroriste du polisario, en abattant des drones alliés, en étouffant toute voix dissonante sur son sol et en s’ingérant dans les affaires de ses voisins, le régime algérien est devenu une menace pour la stabilité du Maghreb et du Sahel. Son double langage — fausse neutralité, vraies manigances — est désormais éventré au grand jour.
L’Alliance des États du Sahel (AES) ne se laissera plus dicter son avenir. L’heure est à la consolidation de nouvelles alliances, à la refondation des partenariats stratégiques et à la reconnaissance des vraies forces de stabilité dans la région, au premier rang desquelles le Maroc, dont l’initiative d’autonomie pour le Sahara est de plus en plus saluée comme la seule solution sérieuse, crédible et durable.
Une bascule historique : vers la reconnaissance du Sahara Marocain
Selon des sources diplomatiques fiables, le Mali est sur le point d’annoncer officiellement le retrait de sa reconnaissance de la pseudo-RASD et la reconnaissance pleine et entière de la souveraineté du Maroc sur son Sahara. Un coup de tonnerre géopolitique qui porterait un coup fatal à l’édifice idéologique algérien construit sur le mensonge, l’hostilité et la division.
L’Histoire s’accélère. Le régime algérien vacille.
L’Algérie rêvait d’être une puissance régionale. Elle n’est plus aujourd’hui qu’un acteur isolé, obsédé par un combat perdu d’avance, pendant que le reste de l’Afrique avance vers plus d’unité, de coopération et de reconnaissance mutuelle. Le monde regarde, et le monde comprend : l’Algérie militaire est le problème, pas la solution.
Abderrazzak Boussaid/Le7tv