L’Afrique du Sud, un pays à la dérive : Vers l’indépendance de la « République du Cap » !

L’Afrique du Sud, autrefois perçue comme le phare de la « nation arc-en-ciel », sombre aujourd’hui dans un chaos racial sans précédent, orchestré par un régime incompétent et rongé par l’idéologie de la division. Face à cette dérive, une région résiste : Le Cap, bastion d’une diversité mise en péril par la politique sectaire du pouvoir central. Lassés des échecs répétés de l’ANC, nombreux sont ceux qui, dans le Cap-Occidental, réclament l’indépendance de la « République du Cap », un territoire où la raison et la prospérité l’emporteraient sur l’incompétence et le déclin.
L’ANC : Architecte d’un désastre national
Depuis son accession au pouvoir, l’ANC a transformé l’Afrique du Sud en un champ de ruines économiques et sociales. Corruption endémique, effondrement des infrastructures, criminalité galopante : tout démontre l’incapacité du régime à gérer un pays en pleine crise. Sous couvert de « transformation économique », il a mis en place une politique raciale ouvertement hostile aux minorités, où seuls les Noirs bénéficient des privilèges de l’État, au détriment des Blancs, des métis et des autres communautés.
Le Cap-Occidental, province économiquement dynamique et relativement stable, refuse de sombrer avec le reste du pays. Avec un PIB représentant 15 % de la richesse nationale, un taux de chômage bien inférieur à la moyenne sud-africaine, et une gouvernance bien plus efficace que celle du gouvernement central, cette province prouve qu’une alternative est possible. Pourquoi continuer à être sous le joug d’un régime qui ne cherche qu’à diviser et à appauvrir ?
Un mouvement indépendantiste qui prend de l’ampleur
Le sentiment indépendantiste gagne du terrain, porté par des partis et des mouvements qui refusent de voir le Cap-Occidental devenir une nouvelle victime du naufrage sud-africain. Parmi eux, le Kaapse Onafhanklikheids Party milite pour un Cap élargi, débarrassé de l’influence néfaste de Pretoria. De son côté, le VF+ (Front de la Liberté Plus) défend une autodétermination des peuples, qu’ils soient Afrikaners, métis ou autres, prônant une véritable décentralisation face à la dictature raciale de l’ANC.
Le Parti du Référendum (RP), quant à lui, revendique une consultation populaire pour permettre aux habitants du Cap de décider eux-mêmes de leur destin. Un appel légitime, quand on constate que le régime en place nie systématiquement les aspirations des citoyens qui refusent sa mainmise idéologique.
Une fracture irréversible ?
Les élections récentes montrent que l’ANC est en chute libre, incapable de répondre aux attentes des Sud-Africains. Mais plutôt que d’admettre ses échecs, il s’entête dans sa politique destructrice, attisant les tensions raciales et alimentant le ressentiment des communautés ostracisées. Au Cap, cette situation ne fait que renforcer la volonté d’émancipation.
Le projet de loi sur l’autodétermination du Cap-Occidental, déposé par le VF+, est une première étape vers un avenir où cette province prospère pourrait enfin s’affranchir du boulet que représente l’Afrique du Sud dirigée par l’ANC. Le Cap n’a plus rien en commun avec le reste du pays : ni sur le plan économique, ni sur le plan culturel, ni sur le plan politique. Pourquoi devrait-il continuer à subir la faillite d’un État en déliquescence ?
L’avenir du Cap : Indépendance ou déclin ?
Le Cap a le choix : suivre l’Afrique du Sud dans son effondrement ou prendre son destin en main. L’ANC, en persistant dans sa politique de racialisme agressif et de destruction économique, ne fait qu’accélérer la rupture. La République du Cap n’est plus une utopie : elle devient une nécessité.
Tandis que l’Afrique du Sud s’enfonce dans le chaos, le Cap-Occidental incarne l’espoir d’un avenir différent, où le mérite, la prospérité et la sécurité remplaceront la médiocrité et la division raciale imposées par le régime actuel. Il appartient désormais aux citoyens de cette province de se lever et de réclamer leur droit à l’autodétermination. L’histoire retiendra ceux qui auront eu le courage de briser leurs chaînes.
Abderrazzak Boussaid/Le7tv