« La Guerre de l’Eau » est déclarée entre le Maroc et l’Algérie : Quand le régime militaire algérien assoiffe son peuple à cause de l’incompétence et le mensonge

Dans un climat de tensions croissantes entre le Maroc et l’Algérie, la question de l’eau s’ajoute à la longue liste des sujets instrumentalisés par le pouvoir militaire d’Alger. En pleine déroute économique et sociale, incapable d’assurer à son propre peuple des conditions de vie dignes, le régime algérien cherche à détourner l’attention en accusant le Maroc d’une soi-disant « asphyxie hydrique » des zones frontalières. Mais cette tentative grossière de manipulation se heurte à une réalité accablante : la crise de l’eau en Algérie est le fruit d’une gestion calamiteuse, d’une corruption endémique et d’un système à bout de souffle !…
Un pouvoir en déroute qui accuse pour mieux cacher son incompétence:
Le Maroc, en véritable stratège du développement, a adopté une politique hydraulique visionnaire, avec la construction de plus de 149 barrages d’une capacité totale de 19 milliards de mètres cubes, en plus de projets de dessalement de l’eau de mer qui permettront de couvrir 50 % des besoins nationaux d’ici 2030. En face, l’Algérie, aux mains d’une junte militaire plus préoccupée par sa propre survie que par le bien-être des citoyens, peine à assurer un approvisionnement basique en eau potable à ses habitants.
Les accusations portées contre le Maroc concernant la baisse du débit de l’Oued Guir ne reposent sur aucune donnée scientifique crédible. Alger affirme que Rabat aurait réduit le flux d’un tiers, alors que les rapports hydrologiques indiquent une diminution ne dépassant pas un huitième, bien en deçà des seuils internationaux autorisés dans le cadre de la gestion des eaux transfrontalières.
L’Algérie face à son propre chaos hydrique:
Loin des fables racontées par le régime militaire, la vérité est brutale : l’Algérie est en crise hydrique non pas à cause du Maroc, mais à cause d’un système corrompu et inefficace. Selon un rapport de la Banque mondiale de 2022, 35 % des ressources en eau potable algériennes sont perdues en raison des fuites dans les canalisations et du manque d’entretien des infrastructures, contre moins de 20 % au Maroc.
Le barrage algérien de Jorf Torba, censé être un pilier de l’approvisionnement en eau du sud algérien, est aujourd’hui un symbole d’un état en faillite. Sa capacité est passée de 400 millions de mètres cubes en 2010 à moins de 150 millions en 2023, un effondrement causé par l’inaction du pouvoir et la gabegie institutionnalisée.
Un peuple assoiffé pendant que le régime s’accapare les richesses:
Le véritable scandale réside dans l’abandon total des citoyens algériens, contraints de faire face à des coupures d’eau régulières, des rations drastiques et des infrastructures vétustes. Pendant ce temps, la caste militaire continue de dilapider les ressources du pays dans des achats d’armes inutiles, des manœuvres diplomatiques stériles et des campagnes de propagande grotesques contre le Maroc.
Un pouvoir qui joue avec le feu:
En politisant la question de l’eau, le régime militaire algérien ne fait que confirmer une chose : son incapacité chronique à gouverner un pays aux richesses pourtant colossales. Plutôt que d’assumer ses fautes et de mettre en place des solutions viables, il préfère crier au complot et alimenter des tensions artificielles avec son voisin marocain.
Face à cet échec patent, une question demeure : combien de temps encore le peuple algérien acceptera-t-il d’être la victime sacrificielle d’un pouvoir autoritaire, incompétent et rongé par la corruption ?
Abderrazzak Boussaid/Le7tv