Les États-Unis expulsent l’Ambassadeur d’Afrique du Sud à Washington !
Accusé d’«haïr» Donald Trump, l’Ambassadeur d’Afrique du Sud expulsé par les États-Unis

Dans un revers diplomatique cinglant, Washington a officiellement expulsé l’Ambassadeur d’Afrique du Sud aux États-Unis, Ebrahim Rasool, le classant « persona non grata ». Cette décision, annoncée par le Secrétaire d’État Marco Rubio, marque un tournant décisif dans la posture américaine face aux dérives idéologiques de Pretoria et, par extension, de son allié indéfectible : le régime militaire algérien !…
« Ebrahim Rasoom nourrit les tensions raciales, hait les États-Unis et hait le président Donald Trump », a écrit Marco Rubio sur X, ajoutant que le diplomate Sud-Africain n’était «plus le bienvenu» à Washington et était dorénavant considéré comme «persona non grata».
L’Afrique du Sud et l’Algérie forment depuis longtemps un tandem délétère sur la scène internationale, s’érigeant en chantres d’une diplomatie de la provocation et de l’obstruction. En adoptant une posture systématiquement hostile aux intérêts occidentaux, ces deux régimes ont tenté de se poser en porte-étendards d’un anti-impérialisme anachronique, alors qu’ils ne sont que les marionnettes de leur propre corruption et d’une gouvernance autoritaire.
L’expulsion d’Ebrahim Rasool est une humiliation directe pour Pretoria, mais c’est surtout un coup dur pour Alger, qui perd son plus fidèle allié dans sa croisade diplomatique désespérée contre le Maroc et contre la stabilité régionale. Le régime algérien, englué dans son obsession maladive de nuire à son voisin marocain, se voit aujourd’hui privé d’un relais stratégique dans la capitale américaine.
Ce n’est un secret pour personne : l’axe Alger-Pretoria s’est construit sur une haine viscérale des démocraties occidentales et une instrumentalisation des causes internationales à des fins purement propagandistes. En accueillant à bras ouverts les figures les plus controversées et en multipliant les attaques contre les États-Unis, l’Europe et Israël, ces régimes ont cru pouvoir jouer impunément les trouble-fêtes de la scène diplomatique. Or, le message de Washington est clair : la patience a des limites, et les adversaires de l’ordre mondial démocratique seront traités comme ils le méritent.
Quant aux généraux d’Alger, cette affaire leur rappelle brutalement leur isolement croissant. Alors que leur propagande tente d’entretenir l’illusion d’une influence diplomatique grandissante, la réalité est tout autre : l’Algérie n’est qu’un pion secondaire dans une stratégie de confrontation stérile, incapable d’obtenir le moindre soutien significatif en dehors d’un cercle restreint de régimes en déclin.
L’heure est venue pour le régime algérien de faire face à la vérité : en s’alignant aveuglément sur un allié en disgrâce, il ne fait que précipiter son propre naufrage diplomatique. Pendant ce temps, le Maroc, lui, poursuit son ascension, multipliant les partenariats stratégiques et consolidant sa position comme leader africain incontournable. Une différence qui, au fil des années, ne cesse de s’accentuer au détriment des despotes d’Alger.
Abderrazzak Boussaid/Le7tv