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L’Algérie en plein délire diplomatique : Une paranoïa maladive face à la montée en puissance du Maroc

Le régime algérien, toujours enfermé dans ses obsessions, vient de franchir un nouveau cap dans le ridicule et l’aveuglement stratégique. Par un communiqué absurde du Ministère des Affaires Étrangères ; Alger s’indigne, une fois de plus, d’un événement qui ne la concerne en rien : des manœuvres militaires franco-marocaines, prévues en septembre prochain à Errachidia, sous l’appellation « Chergui 2025 ».

L’État algérien, dirigé d’une main de fer par une junte aux abois, prouve encore une fois qu’il ne vit que dans l’obsession maladive du Royaume du Maroc, dont la montée en puissance et l’influence croissante sur la scène internationale lui sont insupportables.

Une paranoïa devenue doctrine d’État

L’Algérie se plaint, s’indigne et proteste contre un exercice militaire entre deux nations souveraines, mené bien à l’intérieur des frontières marocaines, loin de toute menace réelle contre son territoire. Pourtant, dans une hypocrisie sans nom, l’Algérie continue, de son côté, ses propres manœuvres militaires, et ce, parfois, aux frontières du Maroc !

Pire encore, l’armée algérienne équipe, finance et soutient ouvertement des milices terroristes dans la région, notamment le polisario, tout en osant dénoncer un exercice militaire officiel, transparent et légitime.

L’isolement international de l’Algérie atteint son paroxysme

Ce communiqué grotesque ne fait que révéler l’extrême isolement diplomatique de l’Algérie. Incapable d’attirer des partenaires crédibles et marginalisée sur la scène internationale, Alger tente de masquer son impuissance en criant au complot et à la provocation.

Alors que le Maroc s’impose comme une puissance régionale stable, influente et respectée, l’Algérie s’enfonce dans une spirale de régression et de paranoïa qui la coupe de plus en plus du reste du monde.

Le régime algérien ferait bien de se concentrer sur l’effondrement économique de son pays, la chute vertigineuse du dinar et la crise sociale explosive qui menace d’emporter le pouvoir militaire, plutôt que de s’inventer des ennemis imaginaires.

En s’accrochant à des querelles absurdes et en refusant de voir la réalité en face, l’Algérie se condamne elle-même à une marginalisation totale et à une faillite inévitable.

Abderrazzak Boussaid/Le7tv

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