Le régime Algérien et son pantin du Polisario : Deux machines de torture dénoncées en Espagne

Le masque de l’hypocrisie algérienne est tombé une fois de plus. Lors d’un forum récemment organisé à Benalmádena, dans le sud de l’Espagne, des témoignages accablants ont révélé l’horreur qui sévit dans les camps de Tindouf, transformés en véritables centres de détention où la torture est érigée en système. Ce n’est plus un secret : le régime algérien, grand architecte et principal financier du Polisario, continue d’orchestrer, en toute impunité, une tragédie humaine dans ces camps où des milliers de Sahraouis sont séquestrés et privés de leurs droits fondamentaux.
Tindouf : « Un Goulag » à l’Algérienne !
Derrière les discours mensongers du régime algérien, qui prétend défendre une prétendue cause sahraouie, se cache une réalité sordide : Tindouf est un territoire de non-droit où la population est maintenue sous la coupe réglée des milices du Polisario, sous l’œil complice d’Alger. Ce forum, organisé par l’Association Humaine pour l’Intégration et l’Égalité des Opportunités (AHIO), a permis aux victimes de témoigner des sévices qu’elles ont endurés : tortures physiques et psychologiques, disparitions forcées, privations systématiques… Tout cela dans un silence international effrayant.
Dahi Aguai, président de l’Association des Disparus dans les Prisons du Front Polisario, a dénoncé des « crimes contre l’humanité » perpétrés avec la bénédiction du régime algérien. Ces actes de barbarie, que les autorités algériennes tentent de dissimuler, sont un énième rappel de la véritable nature du Polisario : une organisation terroriste qui ne subsiste que grâce aux subsides de ses maîtres à Alger.
L’Algérie complice et responsable:
L’Algérie ne peut plus se cacher derrière son écran de fumée diplomatique. C’est elle qui finance, arme et protège le Polisario. C’est sur son sol que sont installés ces camps de la honte, où les populations sont réduites à l’état d’otages politiques. Malgré cela, Alger continue d’empêcher tout recensement des réfugiés, violant ainsi les résolutions du Conseil de Sécurité des Nations Unies.
Pire encore, ces exactions sont accompagnées d’une propagande massive visant à travestir la réalité et à tromper une opinion publique internationale de plus en plus lucide face aux manœuvres algériennes. Ce double jeu cynique a assez duré : le monde doit ouvrir les yeux et exiger des comptes.
Un cri d’alerte au monde libre:
Ce forum en Espagne est une étape cruciale dans la lutte contre l’impunité dont bénéficie le Polisario sous le parrainage du régime algérien. La présidente de l’AHIO, El Akel Errahali Imane, a insisté sur l’importance de faire entendre la voix des victimes auprès de la communauté internationale. Le psychologue et universitaire espagnol, José Maria Sánchez Sanjuan, a, quant à lui, alerté sur les séquelles psychologiques irréversibles laissées par ces années de souffrance.
Les témoignages recueillis sont une gifle à la face du régime algérien et de ses pantins du Polisario. Les États démocratiques doivent cesser d’être dupes et agir fermement pour mettre un terme à cette mascarade. Il est temps d’exiger la libération des populations séquestrées à Tindouf, la dissolution du Polisario et la reconnaissance pleine et entière de la souveraineté marocaine sur son Sahara.
L’histoire finira par rattraper ceux qui, à Alger, pensent pouvoir éternellement dissimuler leurs crimes sous des discours mensongers. L’Algérie, en tant que responsable direct de ces atrocités, devra tôt ou tard répondre de ses actes.
Abderrazzak Boussaid/Le7tv