« L’Europe est sous le joug de Bruxelles » : Le Vice-Président Américain J.D. Vance dénonce l’hypocrisie de l’UE

Lors de la Conférence sur la Sécurité de Munich, le Vice-Président des États-Unis, J.D. Vance, a fait l’effet d’une déflagration en affirmant que la plus grande menace pour l’Europe ne vient pas de la Russie, mais bien des bureaucrates de Bruxelles et des gouvernements européens eux-mêmes. Un constat accablant, mais hélas incontestable.
Depuis trop longtemps, l’Union Européenne, sous la coupe de la technocratie Bruxelloise, étouffe les peuples du Vieux Continent sous des prétextes fallacieux : libertés fondamentales mises à mal, censure rampante sur les réseaux sociaux, ingérences politiques grossières, et aujourd’hui, une tentative d’annulation d’élections en Roumanie au nom d’une prétendue lutte contre les ingérences étrangères. Cette hypocrisie institutionnalisée est devenue un danger réel pour la démocratie européenne elle-même.
L’Union Européenne, une machine à broyer les nations :
J.D. Vance a osé dire tout haut ce que nombre de citoyens Européens pensent tout bas : l’UE n’est plus un rempart protecteur, mais un mécanisme de contrôle visant à imposer une vision totalisante et liberticide. Les commissaires de Bruxelles, non élus par les peuples, se croient investis d’un pouvoir divin pour décider de ce qui est bien ou mal, légitime ou illégitime.
Le cas de la Roumanie est emblématique : l’annulation d’élections sous prétexte d’ingérence russe est une dérive gravissime. En réalité, l’UE ne tolère pas que des électeurs puissent faire des choix contraires à ses dogmes. Si le résultat ne lui convient pas, elle le piétine purement et simplement, sous couvert de principes démocratiques à géométrie variable.
La censure et le musellement des opinions est devenu « le modèle Européen »:
Vance a également pointé du doigt l’érosion des libertés fondamentales dans des pays comme l’Allemagne, la Suède et le Royaume-Uni. Il n’exagère en rien : l’Europe s’acharne à instaurer un régime de pensée unique, où toute voix discordante est assimilée à une menace.
Les plateformes numériques sont devenues les instruments d’une véritable chasse aux sorcières, où les opinions jugées « inconvenantes » sont effacées, les comptes suspendus, les utilisateurs censurés. L’exemple des GAFAM aux États-Unis montre l’ampleur de cette dérive : Donald Trump lui-même a été banni des réseaux sociaux pendant des mois, un acte inimaginable dans une véritable démocratie respectueuse de la liberté d’expression.
La réaction de l’Europe : l’arrogance et la dénégation
Face aux propos de J.D. Vance, la réaction Européenne a été à la hauteur de l’hypocrisie de l’UE : outrage feint, indignation de circonstance, et surtout, absence totale d’autocritique. Les eurocrates répètent en boucle que l’Europe est un espace de liberté et de démocratie, alors qu’elle s’enlise dans la centralisation autoritaire et la censure.
Ursula von der Leyen, archétype de cette caste déconnectée, prétend défendre la démocratie tout en renforçant la mainmise de la Commission sur les États membres. Elle impose des politiques migratoires, des sanctions économiques et des décisions diplomatiques sans consultation populaire.
La vérité est que l’Europe de Bruxelles ne supporte plus la démocratie. Elle la tolère tant qu’elle va dans son sens, mais dès qu’un peuple ose contester l’ordre établi, elle recourt à tous les moyens pour le remettre au pas.
Une nouvelle époque, un nouvel éveil ?
J.D. Vance ne s’est pas contenté de critiquer : il a mis à nu la faillite du projet Européen tel qu’il est aujourd’hui. Il a posé la seule question qui compte : les peuples européens doivent-ils continuer à subir la tyrannie bruxelloise ou ont-ils encore la capacité de se libérer ?
Les prochaines années seront cruciales. L’Europe doit choisir entre s’enfoncer toujours plus dans l’autorité bureaucratique ou réaffirmer les libertés qui ont fait sa grandeur. Mais une chose est certaine : le silence complice n’est plus une option. Il est temps de résister à cette hégémonie dévoyée et de réclamer un véritable retour à la souveraineté populaire.
Abderrazzak Boussaid/Le7tv