Tebboune (le mal-nommé) à Addis-Abeba : Le retour de la « Diplomatie de la Valise » !

L’Algérie s’enfonce encore une fois dans les abysses de la corruption et du trafic d’influence à l’échelle continentale. Après son échec cuisant et humiliant à obtenir un siège au Conseil de Paix et de Sécurité de l’Union Africaine, le régime algérien, fidèle à ses méthodes rétrogrades, a dépêché en urgence son Président en Éthiopie. Objectif : tenter désespérément de sauver la face en relançant un lobbying indécent, où les pétrodollars remplacent la diplomatie et où les mallettes bien garnies circulent dans les couloirs feutrés des hôtels d’Addis-Abeba.
Un Système de corruption érigé en doctrine Diplomatique:
Depuis l’arrivée du Président Algérien dans la capitale éthiopienne, les méthodes les plus viles de la diplomatie algérienne sont de nouveau à l’œuvre : achat de voix, promesses opaques et pressions en coulisses. Conscient que son influence décline à une vitesse vertigineuse, le régime algérien renoue avec sa politique de la valise, pensant pouvoir inverser un scrutin pourtant fondamental pour la réforme de l’Union Africaine. Ce chantage déguisé, pratiqué sans vergogne, ne fait que discréditer davantage un pays qui s’obstine à instrumentaliser les institutions africaines à des fins purement idéologiques et hégémoniques.
Une dérive qui tire l’Union Africaine vers le bas:
Au lieu de bâtir des partenariats gagnant-gagnant avec ses voisins africains, l’Algérie préfère plonger dans une diplomatie du troc, du marchandage et de la compromission morale. Ce comportement, d’un autre âge, illustre la panique d’un régime en perte de crédibilité, qui n’a plus d’arguments à faire valoir si ce n’est l’achat de soutiens à coups de milliards détournés des ressources du peuple algérien.
Cette attitude irresponsable sape les fondements mêmes de l’Union Africaine, la transformant en un simple terrain de jeu pour les intérêts égoïstes du régime d’Alger. Après avoir monopolisé la tribune panafricaine pendant des années pour servir sa propagande et ses agendas anti-marocains, l’Algérie se retrouve aujourd’hui isolée, rejetée et désavouée par ses propres pairs.
Une élection délégitimée par la manipulation Algérienne:
En tentant de truquer un processus électoral d’une importance capitale pour la gouvernance continentale, l’Algérie va porter un coup fatal à la crédibilité de l’Union Africaine. Plutôt que de reconnaître son échec et d’adopter une posture constructive, elle persiste dans une voie de corruption systématique et de manœuvres douteuses, accentuant ainsi son discrédit sur la scène africaine et internationale.
Il est grand temps que les nations africaines se lèvent contre ces pratiques indignes et rétrogrades qui freinent l’émergence d’une diplomatie panafricaine authentique, basée sur la coopération et le respect mutuel. L’Afrique mérite mieux que cette tentative pathétique de manipulation orchestrée par un régime à bout de souffle, incapable d’évoluer avec son temps.
Abderrazzak Boussaid/Le7tv