Le régime Algérien au cœur d’un scandale de financement du Hezbollah : Une complicité avec l’Iran qui fait trembler tout le moyen Orient

Un nouveau scandale explosif devrait ternir définitivement l’image du régime algérien, déjà englué dans une Diplomatie bancale et des manœuvres douteuses : En effet, des Diplomates algériens seraient directement impliqués dans le transfert clandestin de fonds Iraniens au Hezbollah Libanais, une organisation classée terroriste et sous sanctions internationales. Cette révélation, rapportée par le quotidien panarabe Asharq al-Awsat, expose un système occulte où Alger se fait le complice de Téhéran, mettant en péril la stabilité de la région du Moyen Orient.
L’Algérie, nouvel intermédiaire des Mollahs Iraniens:
Ainsi, le service de sécurité de l’Aéroport International de Beyrouth (AIB) a renforcé ses contrôles sur les vols en provenance d’Algérie et d’Iran, imposant une fouille systématique et approfondie des bagages des passagers, y compris ceux des Diplomates Algériens. Cette mesure exceptionnelle révèle l’ampleur des suspicions qui pèsent sur Alger, suspecté d’être un maillon clé du réseau de financement du Hezbollah orchestré par l’Iran.
Selon Asharq al-Awsat, les procédures imposées aux vols en provenance d’Algérie sont désormais identiques à celles appliquées aux avions iraniens, ce qui témoigne de la gravité des soupçons. Une source sécuritaire libanaise de haut rang a confirmé que les diplomates algériens servaient de relais pour faire transiter des dizaines de millions de dollars destinés au Hezbollah au cours des trois derniers mois.
Une complicité qui met en péril la sécurité régionale:
En plus de ces révélations accablantes, on apprend qu’une crise Diplomatique majeure a failli éclater dernièrement entre Alger et Beyrouth, lorsque des Diplomates Algériens on refusé de se faire contrôler à leur arrivée à l’aéroport de Beyrouth en prévenance de Téhéran. Si le Gouvernement Libanais a tenté de garder le secret sur cette affaire pour éviter un incident Diplomatique, les faits sont là : l’Algérie s’aligne de plus en plus ouvertement sur la politique déstabilisatrice de l’Iran au Moyen-Orient, au mépris des principes de souveraineté et de sécurité régionale.
Ce scandale jette une lumière crue sur la dérive du régime algérien, qui, après avoir échoué à s’imposer comme une puissance africaine respectée, s’enfonce désormais dans des jeux d’influence dangereux, s’associant aux stratégies opaques de la République Islamique d’Iran.
L’Algérie n’a cessé de masquer son implication dans des réseaux de financement illicites, mais cette fois, les preuves s’accumulent, et la communauté internationale pourrait ne plus fermer les yeux sur ces connivences toxiques.
Ce nouveau scandale doit alerter l’ensemble des pays du Moyen Orient, qui ne peuvent rester indifférents face à la transformation progressive de l’Algérie en antichambre des intérêts iraniens dans la région. Ce régime, qui instrumentalise les causes arabes à des fins purement géopolitiques, se retrouve une nouvelle fois démasqué dans son hypocrisie.
En tentant de servir de relais au Hezbollah, l’Algérie se positionne non plus comme un acteur de paix, mais comme un vecteur d’instabilité et de tensions régionales. Une dérive qui ne manquera pas d’attirer l’attention des grandes puissances et d’isoler encore plus un régime déjà discrédité.
Le temps est venu pour la communauté internationale d’agir face à cette alliance trouble entre le régime algérien et les financiers du Hezbollah. L’Algérie, en devenant un complice actif des opérations de blanchiment et de financement d’un groupe terroriste, prend un risque majeur : celui de s’exposer à des sanctions internationales et de voir son influence déjà déclinante s’effondrer totalement sur la scène diplomatique.
Abderrazzak Boussaid/Le7tv