Échec cuisant de la Diplomatie Algérienne à l’UA : Un camouflet de la part des pays Africains

L’Algérie vient de subir une humiliation cinglante sur la scène Diplomatique Africaine. Ce mercredi, son rêve de réintégrer le Conseil de Paix et de Sécurité (CPS) de l’Union Africaine s’est effondré face à une opposition massive des États membres. Malgré des manœuvres en coulisses et une campagne effrénée orchestrée par son régime, Alger n’a pas réussi à convaincre ses homologues Africains, confirmant ainsi son isolement grandissant au sein du continent.
Un revers Diplomatique sans précédent:
L’Algérie espérait récupérer le siège qu’elle convoitait avec acharnement, occupé depuis trois ans par le Maroc, mais la sentence des urnes a été sans appel : elle n’a pas obtenu le nombre de votes requis. Ce rejet cinglant est la conséquence directe de sa politique étrangère belliqueuse, marquée par des ingérences mal dissimulées et des tensions avec de nombreux pays africains.
Depuis des décennies, Alger s’évertue à se présenter comme un acteur incontournable du continent, multipliant les discours populistes et les tentatives de division, notamment en soutenant des causes séparatistes nuisibles à la stabilité régionale. Mais cette stratégie a montré ses limites : les nations africaines, aujourd’hui, ne se laissent plus duper par les faux-semblants et les discours creux du régime algérien.
Un isolement Diplomatique grandissant:
Le fait que l’élection se soit déroulée à bulletins secrets rend impossible l’identification des pays qui ont voté contre l’Algérie. Toutefois, ce refus est un signal fort envoyé à Alger : sa politique de confrontation et d’hostilité ne trouve plus d’écho auprès de ses pairs. Ce rejet illustre le basculement d’une grande partie des pays africains qui, lassés par la rhétorique stérile du régime algérien, privilégient désormais des alliances solides avec des nations engagées dans des politiques de développement et de coopération sincère.
La chute de l’Algérie dans le concert diplomatique africain est d’autant plus retentissante qu’elle survient à un moment où l’Union Africaine est en pleine mutation. Le 38ᵉ Sommet ordinaire de l’UA, prévu les 15 et 16 février à Addis-Abeba, devait être l’occasion pour Alger de redorer son blason. Au lieu de cela, elle s’y rendra les mains vides, incapable de masquer son échec et son insignifiance croissante dans les affaires africaines.
L’Algérie dévoilée : Une « puissance autoproclamée », sans poids, ni influence:
Ce revers diplomatique démontre, une fois de plus, que l’Algérie, malgré ses postures arrogantes et ses gesticulations diplomatiques, n’est qu’une puissance de façade, incapable de rallier de véritables soutiens autour de ses intérêts. Ses querelles ouvertes avec plusieurs nations africaines, son soutien obstiné à des causes déstabilisatrices et son mépris pour le développement de partenariats équilibrés ont fini par la marginaliser.
Alors que le continent africain avance résolument vers des partenariats basés sur la coopération économique, la stabilité et la prospérité partagée, l’Algérie s’enfonce dans une logique de confrontation qui la condamne à l’isolement. Ce dernier échec au sein de l’Union Africaine est bien plus qu’un simple revers : c’est une preuve éclatante de l’inadaptation de sa diplomatie aux nouvelles réalités du continent.
Le message est clair : l’Afrique ne veut plus de la diplomatie algérienne archaïque, et encore moins de ses manœuvres sournoises. Un constat implacable qui sonne comme un avertissement : à force de mépriser ses voisins et de saboter les dynamiques positives du continent, l’Algérie risque de voir son influence s’évaporer totalement.