Le boxeur Algérien Aymen Khelif (alias Imane Khelif) exclu (e) du Championnat du Monde de boxe féminine en Serbie !

L’Algérie vit une nouvelle humiliation sur la scène sportive internationale. Le boxeur Algérien Aymen Khelif (alias Imane Khelif), médaillé (e) d’or aux Jeux Olympiques de Paris, ne pourra pas participer au prochain Championnat du Monde féminin de boxe qui se tiendra en Serbie, du 8 au 16 mars prochain. La raison de cette interdiction ? Les tests ADN ont révélé qu’Aymen Khelif (Imane Khelif) ne répond pas aux critères biologiques permettant de concourir dans la catégorie féminine.
Un nouvel échec du régime algérien, qui persiste à instrumentaliser ses athlètes transgenres dans une course effrénée pour la gloire nationale, quitte à bafouer toutes les règles déontologiques et sportives internationales.
Une exclusion attendue mais dissimulée par Alger
Déjà en 2023, Aymen Khelif (Imane Khelif) avait été empêchée de participer à la même compétition après avoir échoué aux tests d’éligibilité concernant la catégorisation sexuelle imposée par l’International Boxing Association (IBA). Pourtant, au lieu de tirer les leçons de cette exclusion, les autorités algériennes ont continué à promouvoir un athlète (une athlète) dont la participation était manifestement incompatible avec les règlements sportifs internationaux.
Chris Roberts, secrétaire général de l’IBA, a rappelé sans ambiguïté : « Aymen Khelif (Imane Khelif) n’est pas éligible pour participer à notre championnat du monde féminine. Il (elle) ne remplit pas les critères requis. Nos règles techniques sont claires quant aux normes d’éligibilité»
La démagogie du régime algérien
Face à cette situation embarrassante, le régime algérien n’a toujours pas réagi officiellement, préférant jouer la carte du déni et du silence. Cet épisode reflète une gestion chaotique et irresponsable des affaires sportives par un pouvoir obsédé par une quête d’image internationale, mais incapable de respecter les standards d’intégrité sportive.
Il est clair qu’Alger tente de détourner l’attention de cette affaire pour éviter un tollé populaire. Cependant, les Algériens méritent la vérité sur cette affaire humiliante qui ternit l’image du pays à l’international.
Un précédent scandaleux aux JO de Paris
Avant les Jeux Olympiques de Paris, la commission olympique internationale avait refusé d’appliquer les tests d’éligibilité de l’IBA, jugés « défectueux et illégitimes. » Cette décision controversée avait permis à Khelif de concourir malgré des doutes évidents sur sa conformité à la catégorie féminine.
L’Algérie avait alors célébré cette victoire comme une « fierté nationale », fermant les yeux sur les avertissements répétés des instances internationales. Mais aujourd’hui, la réalité éclate au grand jour : le mensonge institutionnel ne peut plus masquer une vérité biologique dérangeante.
L’urgence d’une remise en question
Cette nouvelle humiliation devrait pousser le régime algérien à une remise en question sérieuse de sa politique sportive. Mais encore faut-il qu’il ait l’humilité de reconnaître ses erreurs et de cesser d’instrumentaliser ses athlètes pour des objectifs purement politiques.
Le sport est une école d’intégrité, de respect et d’éthique, des valeurs que l’Algérie semble malheureusement avoir oublié en sacrifiant ses champions sur l’autel du cynisme.
Abderrazzak Boussaid/Le7tv