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L’Algérie des « Caporaux » : Un pays en faillite qui menace la sécurité régionale et celle de l’Europe

À seulement quelques kilomètres des côtes Européennes, une crise se profile en Algérie, menaçant non seulement la stabilité de l’Afrique du Nord, mais également la sécurité de l’Europe. Le régime Algérien, prisonnier d’une mentalité belliqueuse et rétrograde, entraîne toute une région dans une spirale de tensions géopolitiques et de défis économiques majeurs. L’Europe doit faire face à ce problème grandissant avant qu’il ne dégénère davantage.

Un régime obsédé par son voisin, le Maroc :

Au lieu de promouvoir la paix et la coopération régionale, Alger adopte une posture hostile envers ses voisins, notamment le Maroc. Des manœuvres militaires provocatrices aux frontières et une rhétorique incendiaire relayée par des médias d’État alimentent les tensions régionales. Toute voix critique, même pacifique, est qualifiée de complice d’ennemis étrangers, justifiant ainsi une répression féroce.

Cette paranoïa s’est récemment manifestée avec l’arrestation arbitraire de Boualem Sansal, éminent écrivain franco-algérien de 75 ans, accusé de « porter atteinte à l’unité nationale ». Son crime ? Avoir évoqué les réalités historiques des frontières entre l’Algérie et le Maroc. Cette persécution illustre la peur maladive d’un régime en déclin face à toute remise en question de sa légitimité historique.

Une économie à la dérive:

L’Algérie, malgré des ressources énergétiques considérables, est économiquement en faillite générale. Sa dépendance exclusive aux hydrocarbures la rend vulnérable aux fluctuations des marchés. Contrairement aux Émirats Arabes Unis, qui ont su diversifier leur économie, Alger reste embourbée dans une gestion archaïque et inefficace.

Le chômage des jeunes dépasse les 45 %, l’un des taux les plus élevés de la région. Face à l’absence de perspectives économiques, les jeunes Algériens fuient massivement vers l’Europe ou se tournent vers des mouvements de protestation. La réponse du régime ? Répression, surveillance et emprisonnement arbitraire des militants et journalistes.

Une menace pour sécurité régionale:

Le régime algérien persiste à maintenir ses frontières fermées, sabotant ainsi la coopération économique régionale. Une ouverture des frontières entre le Maroc, l’Algérie et la Tunisie pourrait pourtant générer une prospérité partagée, réduire la migration illégale vers l’Europe et renforcer la stabilité en Afrique du Nord.

Pendant que le Maroc émerge comme un partenaire fiable et stable pour l’Occident, Alger gaspille son énergie dans une course effrénée aux armements, au financement des milices terroristes et une propagande anti-marocaine stérile.

L’Europe doit réagir:

L’Algérie est un fournisseur de gaz pour l’Europe, particulièrement dans le contexte actuel de diversification énergétique post-Russie. Cependant, la dépendance Européenne envers un régime autoritaire, endetté politiquement envers Moscou, est une menace directe pour la sécurité énergétique du continent.

L’Europe ne peut plus rester passive face à l’instabilité chronique provoquée par les « Caporaux » algériens. Une stratégie diplomatique ferme et visionnaire est nécessaire pour encourager des réformes internes en Algérie et promouvoir une coopération régionale inclusive.

Le choix est simple : soit l’Europe agit pour stabiliser cette région cruciale, soit elle risque de subir les conséquences de l’aventurisme d’un régime à la dérive. La sécurité de l’Europe et la prospérité de l’Afrique du Nord en dépendent.

Abderrazzak Boussaid/Le7tv

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