Aziz Ghali : Un traître parmi nous !
Le dénommé Aziz Ghali, soi-disant Président de l’Association Marocaine des Droits Humains (AMDH), s’est transformé en un symbole de division, trahissant non seulement les aspirations du peuple marocain, mais également les principes mêmes qu’il prétend défendre. Sous couvert d’un discours en faveur des droits humains, il s’acharne à saper l’unité nationale, particulièrement sur la question du Sahara Marocain, en adoptant des positions qui flirtent avec LA HAUTE TRAHISON.
Un discours en contradiction avec la réalité :
Dans ses récentes déclarations, Aziz Ghali a osé remettre en question le plan d’autonomie marocain, pourtant reconnu comme sérieux et crédible par la communauté internationale, y compris les Nations Unies. Ce plan, fruit d’une diplomatie marocaine exemplaire, incarne une solution pragmatique et équilibrée, alliant souveraineté nationale et respect des droits des populations sahariennes.
En choisissant d’ignorer cette réalité, Ghali adopte une posture qui ne sert ni les Marocains ni la cause des droits humains. Pire encore, il fait preuve d’un mutisme coupable sur le rôle manifeste de l’Algérie dans le maintien du conflit autour du Sahara marocain. Les camps de Tindouf, où des milliers de Sahraouis sont retenus dans des conditions déplorables, restent absents de ses discours, alors même que l’Algérie fournit un soutien logistique et financier direct au polisario.
Une trahison de l’unité nationale:
En s’opposant au consensus national sur la question du Sahara, Aziz Ghali ne se contente pas de s’isoler politiquement. Il bafoue également la mémoire des martyrs marocains qui se sont battus pour l’intégrité territoriale du Royaume. Son double discours sur les droits humains, qui semble parfois s’aligner sur les revendications des séparatistes, a suscité une profonde indignation parmi les familles des victimes et l’ensemble du peuple marocain.
L’unité nationale n’est pas un sujet de débat. Elle constitue un fondement sacré de l’identité marocaine. À une époque où le Maroc joue un rôle de stabilisateur régional, notamment grâce à ses initiatives diplomatiques et au développement économique de ses provinces du Sud, les positions de Ghali apparaissent comme une anomalie, un écho dissonant dans un pays uni autour de sa souveraineté.
L’AMDH : Un outil dévoyé ?
L’AMDH, sous la direction de Ghali, semble s’écarter de ses objectifs initiaux pour devenir une plateforme d’opposition systématique, au mépris des réalités géopolitiques et des aspirations des Marocains. En rejetant le plan d’autonomie et en proposant des « solutions » impraticables, l’association met en péril sa crédibilité et risque d’être perçue comme un outil au service d’agendas étrangers.
Un isolement inévitable:
La trajectoire de ce Ghali est celle d’un individu qui s’éloigne inexorablement de l’opinion publique. Son entêtement sur la question du Sahara marocain, son absence de critique envers l’Algérie, et son discours ambigu sur les droits humains ont réduit son rôle à celui d’un provocateur sans substance.
Dans un Maroc uni et tourné vers l’avenir, les propos de Ghali résonnent comme les derniers sursauts d’une pensée dépassée. Il est aujourd’hui évident que ses prises de position, loin de renforcer la cause des droits humains, ne font qu’alimenter les divisions et fragiliser sa propre crédibilité.
Aziz Ghali, autrefois respecté pour certaines de ses prises de position, est désormais perçu comme un traître parmi nous. Un homme qui, par son arrogance et son incompréhension des réalités, a choisi de s’éloigner de son peuple et de ses valeurs. Une figure qui, à force de provocation, ne laissera derrière elle que l’ombre d’une controverse stérile.
Le Maroc, quant à lui, continuera de bâtir son avenir avec la détermination et l’unité qui le caractérisent, laissant Ghali et ses semblables dans les marges de l’histoire.
Abderrazzak Boussaid /Le7tv