Echec cuisant pour la junte militaire algérienne et pour son rejeton, le polisario, au Parlement Européen
L’incapacité du Polisario à renouveler son « Groupe d’Amitié » au Parlement Européen marque un revers humiliant pour le mouvement séparatiste et son créateur, la junte militaire algérienne. Depuis plus de deux décennies, ce groupe d’appui servait de plateforme pour promouvoir les narratifs fallacieux du Polisario dans les couloirs de Bruxelles. Mais la nouvelle législature 2024-2029 a brisé cette continuité, révélant les failles d’un lobby à bout de souffle.
L’agonie diplomatique de l’Algérie
Le refus du bloc social-démocrate, dominé par le PSOE Espagnol, de soutenir la création de cet intergroupe est une gifle retentissante pour l’Algérie et son rejeton, le polisario. Malgré les soutiens des Verts et de La Gauche, le retrait des socialistes a condamné l’initiative à l’échec. Une décision qui reflète l’évolution des positions au sein de l’Union européenne, où les manipulations et les manœuvres orchestrées par le Polisario et ses parrains algériens perdent en crédibilité.
Les accusations lancées aussitôt par l’Algérie et le polisario à l’encontre du PSOE, qualifiant le parti de principal obstacle à leur projet, ne font que trahir leur frustration. La tentative désespérée d’Omar Mansur, représentant du polisario auprès de l’UE, de minimiser cet échec, ne convainque personne.
Un soutien algérien à bout de souffle
La junte militaire algérienne, qui déverse des ressources colossales pour soutenir le Polisario, voit une fois de plus ses efforts échouer. Cet épisode met en lumière l’isolement grandissant d’un régime algérien qui s’acharne à maintenir une cause désuète, au détriment des véritables aspirations de son peuple.
L’Algérie, en finançant sans limite le Polisario, tente de masquer son incapacité à répondre aux besoins fondamentaux de ses citoyens. Cette obsession pour nuire au Maroc se heurte à une réalité implacable : la communauté internationale reconnaît de plus en plus la marocanité du Sahara et soutient l’initiative marocaine d’autonomie comme solution pragmatique et réaliste.
Une Europe lassée des manipulations algériennes
Le Parlement Européen, traditionnellement considéré comme un espace favorable aux revendications du polisario, semble tourner la page. La perte de soutien de nombreux Eurodéputés reflète une lassitude face aux discours vides et à l’agenda conflictuel porté par le polisario, l’algérie et leurs alliés.
Par ailleurs, la conférence organisée les 9 et 10 décembre par le polisario, prétendument axée sur les arrêts de la CJUE, n’a attiré qu’un nombre limité de participants, illustrant encore une fois l’érosion de leur influence.
Le Maroc triomphe dans le silence de ses adversaires
Face à cet échec, le Maroc continue de consolider ses victoires diplomatiques. Grâce à une stratégie claire et cohérente, le Royaume renforce ses partenariats avec l’Union européenne, comme en témoignent les relations solides dans les domaines économique, politique et stratégique.
L’isolement du Polisario et de la junte militaire algérienne ne fait que croître. Il est grand temps pour ces derniers de prendre conscience que le vent de l’Histoire souffle en faveur du Maroc, tandis que leurs manigances s’effondrent dans l’indifférence générale.
Un message clair
Le message est limpide : les stratagèmes de la junte algérienne et de son protégé ne trouvent plus d’écho dans les instances internationales. Plutôt que de s’entêter dans une guerre diplomatique vouée à l’échec, l’Algérie ferait mieux de se concentrer sur les véritables défis internes auxquels elle est confrontée.
Quant au polisario, il s’agit d’un rejeton idéologique d’un autre temps, dont la disparition n’est qu’une question de temps. Le Maroc, quant à lui, avance avec sérénité, fort de sa légitimité et du soutien croissant de la communauté internationale.
Abderrazzak Boussaid/Le7tv
