Usurpation Culturelle : L’Algérie prise en flagrant délit d’appropriation illégale du Patrimoine Marocain auprès de l’UNESCO
Dans une énième tentative de détourner le patrimoine culturel immatériel du Maroc, l’Algérie s’est une nouvelle fois heurtée à une réponse ferme et déterminée du Royaume. Lors des travaux du Comité intergouvernemental pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO, à la République du Paraguay, l’Algérie a tenté d’inclure une image du caftan marocain traditionnel dans un dossier concernant un vêtement algérien.
Un acte dénoncé et invalidé par l’UNESCO
Cette manœuvre indigne a conduit l’ambassadeur du Maroc auprès de l’UNESCO, Samir Addahr, à déposer une protestation officielle appuyée par des preuves irréfutables. Pour la première fois dans l’histoire de l’UNESCO, une telle démarche a été prise en compte, et le Comité a décidé de retirer l’image du caftan marocain du dossier algérien.
La décision met en lumière l’incohérence et l’amateurisme de la tentative algérienne, mais surtout son mépris des droits de propriété intellectuelle. L’Algérie n’en est pas à son premier essai : ses agissements répétés pour usurper des éléments du patrimoine marocain trahissent une stratégie d’appropriation culturelle systématique, dénoncée depuis des années par le Royaume.
Une réponse Marocaine sans équivoque
Face à cette provocation flagrante, le ministère marocain de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication a réagi avec célérité. En coordination avec la délégation marocaine à l’UNESCO, le ministère a rassemblé des données précises sur l’origine marocaine du caftan, mettant à nu la tentative algérienne.
L’ambassadeur Samir Addahr, accompagné de Mustafa Jellouk, directeur du patrimoine culturel au ministère, a présenté un dossier solide pour contrer cette nouvelle agression culturelle. Le rejet par l’UNESCO du dossier algérien constitue une victoire éclatante pour le Maroc et un camouflet sévère pour son voisin.
L’Algérie, récidiviste dans l’usurpation culturelle
Cette affaire n’est qu’un épisode de plus dans une longue série de tentatives algériennes d’appropriation du patrimoine marocain. Que ce soit via l’UNESCO ou l’Organisation Mondiale de la Propriété Intellectuelle (OMPI) à Genève, l’Algérie a multiplié les initiatives douteuses pour s’attribuer des éléments culturels emblématiques du Maroc, de la musique gnaoua au couscous, en passant par le caftan.
Pour faire face à ces pratiques malhonnêtes, le Maroc a renforcé ses mécanismes de protection. Le label « Maroc », mis en place par le ministère de la Culture, sert désormais de bouclier national pour préserver le patrimoine immatériel marocain et empêcher toute tentative de détournement.
Un appel à la vigilance internationale
Le succès marocain dans cette affaire ne doit pas faire oublier la vigilance nécessaire face aux tentatives répétées de l’Algérie de s’approprier des éléments culturels étrangers. L’UNESCO, par cette décision historique, envoie un signal fort contre les pratiques illégales qui nuisent à la coopération culturelle internationale.
Le Maroc, quant à lui, réaffirme son engagement à défendre son patrimoine, tout en promouvant une coopération culturelle basée sur le respect, l’authenticité et l’intégrité. L’épisode du caftan marocain est un rappel que le patrimoine culturel n’est pas un terrain de jeu pour des ambitions déloyales, mais un héritage précieux à protéger et à transmettre dans sa vérité historique.