La nomination de Marco Rubio « sonne le glas » du régime militaire algérien
L’annonce a retenti comme un coup de tonnerre à Alger. Ce mercredi 13 novembre, Donald Trump a officialisé la nomination de Marco Rubio, Sénateur Républicain de Floride et farouche adversaire des régimes autoritaires, au poste de Secrétaire d’État Américain. Pour la junte militaire algérienne, cette décision s’apparente à une véritable catastrophe diplomatique. Rubio, connu pour son franc-parler et ses critiques acerbes contre les abus de pouvoir, incarne une menace directe pour un régime en perte de légitimité internationale.
Marco Rubio : un ennemi déclaré de la junte algérienne
Marco Rubio n’a jamais caché son mépris clair pour les pratiques du régime militaire algérien. Défenseur acharné des droits humains et partisan d’une diplomatie ferme, il a régulièrement dénoncé la répression des libertés fondamentales en Algérie. Sous l’égide du Countering America’s Adversaries Through Sanctions Act (CAATSA), Rubio a appelé à des sanctions contre Alger, pointant du doigt les violations des droits des minorités, la persécution religieuse et la répression des voix dissidentes.
Mais c’est surtout les alliances troubles d’Alger, notamment avec des régimes controversés comme Cuba et l’Iran, qui ont fait de l’Algérie une cible privilégiée dans la croisade de Rubio contre les régimes autocratiques. Avec lui à la tête de la diplomatie américaine, il est peu probable que les manœuvres algériennes soient tolérées.
Une administration Américaine hostile à Alger
Rubio ne sera pas seul dans sa croisade contre la junte. La potentielle nomination de Michael Waltz comme conseiller à la sécurité nationale annonce un durcissement stratégique. Waltz partage avec Rubio une ligne dure contre les régimes autocratiques et n’a jamais mâché ses mots sur les alliances équivoques de l’Algérie.
L’administration Trump semble ainsi s’orienter vers une politique de confrontation frontale avec Alger, mettant en lumière les abus du régime et sa rhétorique vide autour de la lutte anticoloniale. Pour la junte militaire, cette posture américaine s’apparente à un ultimatum : se réformer ou s’isoler davantage.
L’isolement international de l’Algérie, une réalité imminente
Alors qu’Alger tente désespérément de redorer son blason sur la scène internationale, l’arrivée de Rubio pourrait accélérer son isolement. La stratégie de sanctions et de dénonciation publique que ce dernier pourrait mener risque de provoquer un effet domino, poussant d’autres nations à revoir leurs relations avec l’Algérie.
De plus, la perspective de voir Elise Stefanik représenter les États-Unis à l’ONU ajoute une pression supplémentaire. Connue pour son franc-parler et son mépris des doubles discours, Stefanik pourrait exposer les manœuvres de la junte au sein des instances internationales. Un tel scénario fragiliserait encore davantage la position d’Alger, déjà critiquée pour sa gestion désastreuse des droits humains et sa corruption endémique.
Un coup dur pour la junte algérienne et un avertissement pour ses alliés
La nomination de Marco Rubio constitue bien plus qu’un simple revers pour la junte algérienne : elle marque le début d’un nouveau chapitre où les régimes autocratiques devront rendre des comptes. Pour Alger, l’équation est simple : soit elle amorce une réforme profonde de ses institutions, soit elle s’expose à des sanctions économiques et à une marginalisation diplomatique accrue.
Ce virage américain souligne également l’échec des stratégies de diversion du régime, qui tente de masquer ses faiblesses internes sous une rhétorique anti-marocaine et pseudo-progressiste. Désormais, le régime militaire devra faire face à une administration américaine décidée à mettre en lumière ses abus et ses contradictions.
Un futur incertain pour Alger
Face à une telle adversité, la junte militaire algérienne se retrouve acculée. L’ère de l’impunité semble toucher à sa fin, et l’administration Trump, menée par un Marco Rubio déterminé, pourrait bien sonner le glas du régime militaire algérien.
Abderrazzak Boussaid / Le7tv