Le Dinar Algérien s’effondre après le refus de l’Algérie au BRICS : Les scénarios du Venezuela et du Zimbabwe, semblent inévitables !
Dans un triste spectacle de décadence économique, le Dinar Algérien a succombé à une chute vertigineuse après le rejet cinglant de l’adhésion de l’Algérie au BRICS. Une situation qui ne fait qu’exposer l’agonie d’une nation autrefois prometteuse, et laissent présager des scénarios cauchemardesques qui rappellent les désastres économiques du Venezuela et du Zimbabwe.
Le Dinar Algérien, autrefois à peu près à parité avec le Dirham Marocain dans les années 80, n’est maintenant plus qu’un pâle fantôme de sa valeur passée. Avec un taux de change pitoyable de 0,049 Dirham Marocain sur les marchés officiels et un misérable 0,012 Dirham sur le marché noir, la monnaie Algérienne semble avoir atteint un nouveau seuil de dévalorisation. En effet, à plus de 1 centime Marocain pour 1 Dinar : c’est le triste constat d’une monnaie nationale en chute libre !…
Cette débâcle monétaire reflète le manque flagrant de confiance des marchés mondiaux envers l’Algérie. Tiraillé par une crise politique, sociale et économique profonde, le pays est devenu un repoussoir pour les investisseurs internationaux. La junte militaire au pouvoir a réussi à confirmer une méfiance totale parmi les acteurs économiques mondiaux, et l’effondrement du Dinar n’en est que le reflet le plus criant.
Dans cette situation économique catastrophique, les dirigeants algériens semblent avoir très peu de choix à disposition. Incapables de négocier avec des institutions financières internationales pour obtenir des crédits, ils ont malheureusement opté pour la solution désastreuse du « financement non conventionnel », c’est-à-dire l’expansion incontrôlée de la masse monétaire. Cette tactique risquée est une bombe à retardement pour l’économie algérienne, susceptible de la mener à l’effondrement total.
Les perspectives pour l’Algérie sont sombres et désolantes. Avec une monnaie en lambeaux et des réserves insuffisantes, le pays est pris au piège d’une catastrophe imminente. La population de plus de 40 millions d’habitants se retrouve otage des erreurs de la junte militaire, et les parallèles avec les cauchemars économiques vécus par le Venezuela et le Zimbabwe deviennent inévitables.
Aujourd’hui, l’Algérie est en train de vivre les conséquences amères de ces erreurs. Accusant sans preuves le Maroc d’être responsable de l’inondation de « faux billets de 2000 dinars », les dirigeants algériens ne font que montrer leur incapacité à assumer leurs propres responsabilités. Cette tentative désespérée ne mènera qu’à davantage de désastres financier et économique.
Abderrazzak Boussaid/Le7tv