La mort du Chef des mercenaires de Wagner, un coup dur pour l’Algérie et le Polisario !
Une lueur d’espoir se lève sur la scène internationale avec la mort du chef du groupe paramilitaire Wagner, Evgueni Prigojine, dans un crash d’avion en Russie. Cette nouvelle devrait être accueillie avec un soupir de soulagement par ceux qui ont souffert des agissements de ce groupe aux activités douteuses et inquiétantes. Cependant, ce décès a également des implications majeures pour certains acteurs régionaux, notamment l’Algérie et le Polisario, qui perdent ainsi leur principal allié militaire dans la région.
Evgueni Prigojine était à la tête du groupe Wagner, une entité paramilitaire opaque et controversée, responsable d’une série d’opérations douteuses à travers le monde. Les activités de ce groupe ont semé la terreur et la destruction dans des zones de conflit, avec des allégations de liens étroits avec le gouvernement russe. Prigojine avait été identifié comme le cerveau derrière de nombreuses opérations militaires non conventionnelles et douteuses, faisant de lui une figure énigmatique et souvent controversée.
Des experts en géopolitique et dans les conflits régionaux, notamment au Sahel, ont longtemps mis la lumière sur l’implication directe de l’Algérie dans les activités du groupe Wagner au Mali, alléguant que le régime algérien aurait offert un soutien financier substantiel pour faciliter un accord militaire entre Wagner et les autorités maliennes. Cette affirmation soulève des questions sérieuses quant aux intentions de l’Algérie et à son rôle dans la déstabilisation de la région.
Wagner aurait formé une force paramilitaire au Mali, impliquant potentiellement des éléments du Polisario. Cette allégation soulève des inquiétudes majeures quant aux commanditaires de Wagner dans la région et leur rôle dans la poursuite des conflits et de l’instabilité dans le Sahel.
Ces affirmations révèlent une réalité troublante dans laquelle des groupes paramilitaires tels que Wagner et des acteurs étatiques comme l’Algérie peuvent agir en toute impunité pour poursuivre leurs propres intérêts, au détriment de la paix et de la stabilité régionales.
La mort d’Evgueni Prigojine va marquer le début de la fin pour les activités troubles du groupe Wagner, mais les conséquences de ses actions continueront probablement à se faire sentir pendant un certain temps. L’Algérie et le Polisario doivent être tenus responsables de leur implication présumée dans des opérations militaires, comme l’assassinat des chauffeurs routiers Marocains tués sous les balles des mercenaires de Wagner. Il est impératif que la communauté internationale surveille de près les développements à la suite de cet événement.
Abderrazzak Boussaid /Le7tv