Sans leadership fort et visionnaire, le Raja sombre dans les crises !
Les promesses n'engagent que ceux qui les croient !...
Le très contesté Président des Verts, Aziz El Badraoui, avait promis, à qui veut l’entendre, de transformer le Raja en un club moderne et compétitif, mais ses nombreuses promesses n’ont jamais été tenues !…
Au lieu de cela, il a géré le club de manière incohérente et non-professionnelle, recrutant des joueurs de « seconde zone », sans revenir à l’avis d’un véritable Directeur Sportif, ni au Comité de Direction. Des joueurs qui n’ont jamais répondu aux attentes. Pire encore, Aziz El Badraoui a sacrifié dans son entêtement, la formation des jeunes talents et a négligé dans sa fuite en avant, les autres sections du club, notamment le foot féminin et le futsal !
El Badraoui a fait appel à des entraîneurs en fin de carrière, pour les uns ou sans compétence suffisante, pour les autres, provoquant une instabilité constante et un manque de continuité. Les joueurs ont également été maltraités, avec des retards constants dans le paiement des salaires et des primes.
Ces problèmes ont finalement conduit à une chute spectaculaire des résultats du Raja sur le plan sportif. Le club a connu une série de défaites humiliantes. Éliminé de fait dans la course aux titres des championnats national et continental, le Grand club du Raja est devenu, sous sa direction, l’ombre de lui même !…
Face à ces problèmes, les supporters du Raja sont de plus en plus frustrés et en colère et exigent un changement radical de la gestion du club.
Il est clair que le Raja a besoin de réformes profondes pour retrouver sa place de leader dans le football marocain. Cela implique de mettre en place une gestion professionnelle et transparente, de développer des infrastructures de qualité, de promouvoir la formation des jeunes talents et de recruter des entraîneurs et des joueurs compétents.
Cependant, cela ne sera possible que si les dirigeants actuels sont remplacés par des personnes compétentes et dévouées à la cause du Raja. En fin de compte, le Raja a besoin d’un leadership fort et visionnaire pour sortir de sa crise actuelle et renouer avec le succès.
La rédaction /Le7tv