Politique

Des médias jordaniens font la lumière sur l’appel de la Fondation tanzanienne pour la paix à expulser le “Polisario” de l’UA :

Des médias jordaniens ont mis en avant le renouvellement de l’appel de la Fondation tanzanienne pour la paix (Tanzania Peace Fondation (TPF)) à expulser la milice du “polisario” de l’Union africaine pour restaurer la neutralité et la crédibilité de cette organisation.

Les sites d’information «Assowsana» et «Madar Assaa» ont rapporté un communiqué de la Fondation dans lequel elle a fortement souligné la participation positive et efficace de ses membres au séminaire organisé le 16 octobre à Dar Es-Salaam sous le titre «L’impératif de la relance post-covid : Comment la résolution de la question du Sahara peut-elle renforcer la stabilité et l’intégration de l’Afrique» de l’Afrique et son intégration», et qui a débouché sur l’appel à l’expulsion de la soi-disant «République sahraouie » de l’Union africaine.

La Fondation a affirmé, selon les deux sites, son engagement à respecter l’ensemble des conclusions et recommandations formulées conjointement lors de ce séminaire avec l’Institute of Peace and Conflict Studies (IPCS), réitérant son implication et son attachement aux résultats de la rencontre, qui a vu la participation de dizaines d’experts, universitaires, membres de Think tanks, parlementaires, chercheurs et personnalités politiques de renom de plusieurs pays africains, ainsi que sa ratification du contenu du communiqué final.

Les deux sites ont relevé que la “Tanzania Peace Foundation”, en publiant ce communiqué, dénonce la falsification de l’Agence de presse algérienne APS, qui a publié un communiqué attribué à la Fondation tanzanienne portant une signature falsifiée qui n’appartient pas à son président et conteste les conclusions de ce séminaire, dont le communiqué final comportait un appel explicite à l’expulsion de la soi-disant «République sahraouie» de l’Union africaine pour restaurer la neutralité et la crédibilité de l’organisation régionale.

Les sites «Assowsana» et «Madar Assaa» ont souligné que l’expulsion de la seule entité non étatique siégeant parmi 54 États souverains et indépendants de l’UA permettra, non seulement d’assurer la prémunition de l’organisation panafricaine contre le séparatisme, mais aussi de favoriser une contribution effective, crédible et légitime de l’Union Africaine au processus des Nations Unies, qui reconnaît le plan marocain d’autonomie comme solution “sérieuse et crédible”.

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