RETOUR DU « MINISTRE-CLOWN », KAMEL REZIG, AUX AFFAIRES : L’ÉCONOMIE ALGÉRIENNE NE TIENT PLUS SUR « SES PATTES » !

RETOUR DU « MINISTRE-CLOWN », KAMEL REZIG, AUX AFFAIRES : L’ÉCONOMIE ALGÉRIENNE NE TIENT PLUS SUR « SES PATTES » !

Le retour aux affaires du « Ministre des Pattes de Poulet » annonce déjà une nouvelle débâcle économique « made in Algeria » !…

Mais par respect pour le peuple algérien, ce peuple martyrisé, qui endure en silence les humiliations quotidiennes infligées par une junte militaire sénile et corrompue, je vous demande de ne pas rire, car l’histoire qui suit, bien qu’elle ressemble à un sketch d’humour noir, est bel et bien vraie :

Après avoir tristement fait parler de lui lors de son premier passage au Ministère du Commerce, le très célèbre, ou plutôt tristement célèbre, Kamel Rezig, alias « le Ministre des Pattes de Poulet », fait un retour aussi grotesque qu’incompréhensible au gouvernement algérien. Cette fois, il est bombardé, (sans rire), Ministre du Commerce Extérieur…Oui, Extérieur, comme si l’Algérie avait quelque chose à exporter autre que la misère de son peuple et les communiqués creux de ses « Généraux » séniles.

Une économie qui bat de l’aile…de  poulet :

Pendant que le Maroc, sans pétrole, sans gaz, mais avec de la vision, signe des contrats industriels de plusieurs milliards pour produire des voitures, des pièces d’avions et des hélicoptères, l’Algérie de Rezig se débattra dans un marécage économique si profond qu’il va falloir exhumer des cartons, l’idée géniale d’exporter…des pattes de poulet.

Un symbole de l’effondrement économique:

Cette farce aurait pu faire sourire si elle ne révélait pas la tragédie économique profonde que traverse l’Algérie. Jadis riche de ses pétrodollars, le pays est aujourd’hui incapable de diversifier son économie, de créer de la valeur ajoutée, ou même de garantir des produits de première nécessité à ses citoyens. Résultat : le régime se cramponne désespérément à ses dernières illusions, dans un décor de plus en plus digne d’une république bananière…mais sans les bananes !

Le retour de Kamel Rezig au gouvernement n’est donc pas une surprise : dans une Algérie où la compétence est bannie, l’absurde est récompensé. Car quel message plus clair le pouvoir pouvait-il envoyer à son peuple qu’en remettant aux commandes un homme dont le principal exploit est d’avoir tenté de relancer l’économie nationale en exportant… ce que le monde rejette ?

La junte s’accroche à ses « pattes de poulet » comme à un radeau de survie:

Pendant ce temps, les Algériens assistent, impuissants, à l’effondrement méthodique de leur pays, pendant que le pouvoir, tel un mauvais metteur en scène, recycle ses anciens clowns pour tenter de distraire la galerie. Mais cette fois, plus personne ne rit. Le peuple n’est plus dupe. Et les analystes sont formels : quand « la puissance régionale autoproclamée » en est réduite à exporter des pattes de poulet comme stratégie nationale de redressement, c’est que la chute est proche… très proche.

Abderrazzak Boussaid/Le7tv